Ne pas se fier aux apparences. On croit toujours savoir, avoir raison, alors qu’en vérité la réalité ne tient qu’à un fil, celui du raisonnement, des sens de notre corps et notre esprit. On croit savoir, mais en réalité, nous sommes trompés.
Tout les faits, les évènements auxquelles nous assistons, ne sont que duperies. J’en ai déjà parlé dans mon précédent ouvrage, mais j’ai déjà remarqué par le passé à quel point les informations qui passent à la télévisions, sont des contingences factuelles tellement malléables, qu’on s’interroge sur leur réalité. Un véritable foutage de gueule en réalité, en plus de la manipulation, qu’il y a derrière 🙂
L’être humain, ne vaut pas mieux, que ces informations, et déforme en permanence les faits vécus, par leur ressenti, leur perception, de ce que leur arrive. C’est la raison pour laquelle, on a commencé par tout mettre par écrit, tout ce qui arrive. Qu’on a commencé à mettre en place des formes de règles et de contrats physiques et moraux, ainsi que tout un tas d’institutions, ont fini par exister. Pour créer une existence sans laquelle, l’institution n’aurait pas de sens.
Mais ça ne change rien, on a fait que ralentir et institutionnaliser la bêtise humaine, en la rendant plus lourde, et plus palpable. On fait pour de semblant de contrôler ce qui échappe totalement à notre vie, tel que la naissance, en définissant des appartenances, des cultures, des noms, tient donc, ça marche aussi et désormais pour les animaux domestiques, comme c’est étrange, bizarre, vous avez dit bizarre? On a mit en place une chappe de plomb sur la vie de chaque être humain, pour le faire vivre en communauté, pour lui faire croire qu’il ne vivait pas seul. C’est qui est faux. On lui a inculqué des règles, et on le contrôle en permanence par voie physique ou moral, et ce jusqu’à sa mort.
Au final, qu’est ce qui fait que je suis, moi, et pas un autre? Qu’est ce qui me rend unique et non jetable? RIEN, personne n’est irremplaçable, et même si notre personnalité est unique, on est dans un cycle, ou chacun de nous transmet le flambeau au prochain « abruti » qui ira courrir jusqu’au prochain checkpoint, sans savoir à quoi servait le flambeau, et s’il y avait réellement un flambeau.
Mais il y a une chose dont je suis certain, je pense donc je suis ? Je panse donc j’essuie?
Conclusion: Mettez vous un doigt dans le cul !