Tout ce que j’écris, est destiné, soit à partir dans le vide, ou bien à être récupéré furtivement, par le regard du lecteur, et peut être, je ne sais, l’influencer dans quelques lubis ou bien, tout simplement le divertir.
Tout ça pour dire, qu’il faut prendre cette histoire d’idées, et de victoire, comme des simples futilités, qui n’existent que parce que l’idée s’est imposé à moi, et qu’elle a été assez importante, pour que je la mette sur papier.
Mais sur le fond, tout ce que je vous ai présenté depuis le début n’est pas la vie, et comme je l’ai dis plus tôt, je suis attaché à des faux problèmes, de façon excessive, peut être pour éviter de traiter les vrai problèmes de fond.
J’emmerde le monde qui m’entoure, en projettant mes psychoses, au travers d’idées délirantes, et d’actes délictuels, et ce de façon répété.
En fait, tout cela est lié à mon mal être et mon hygiène de vie déplorable, le manque d’attention sur soi, le refus de me voir dans un miroir, et d’affronter ma propre image. Je ne regarde pas les gens dans les yeux quand on me parle et mon visage ne reflète absolument aucune émotion.
Là ou je veux en venir, c’est qu’en fait, je raconte des conneries, même si parfois, je vise juste, et autour de moi, en fait Jenny, sa famille, et Bernard Werber, et sa famille, vivent leur vie. Ils n’ont pas d’attache vis à vis de moi, hormis celui que je leur ai imposé par le passé. Je me retrouve le seul à souffrir de cette situation.
Je n’ai pas réellement de vie à moi, et n’existe qu’au travers du regard de l’autre, qui comme on la vu dans les chapitres précédents, n’est pas forcément le meilleur.
Je ne crois pas à la spiritualité, à toute les méthodes de relaxation, diverses et variées, tels que le yoga et la méditation, je ne crois pas non plus à l’auto persuasion, la pensée positive, à l’ésotérisme, à l’astrologie, ni à toute ces formes de récupérations, new age, de pseudo science qui mettent au centre la relation corps/esprit.
Je crois à ma propre expérimentation, et à écouter mon corps, quand il a des choses à dire, ce qui souvent se traduit, assez tardivement, ou trop tard. Je ne pense pas que j’ai raison, ou tort, mais pour moi, nous sommes programmés des la naissance, et tout ce qui découle de notre être ne laisse que peu ou prou place aux choix personnels… Et voilà, je recommence à dire des conneries et à me justifier.
Pour saisir le monde, il faut penser out the box.
Une devinette à mon avis résume tout cela… Je vais vous en faire part !
Vous êtes au volant d’une voiture et vous roulez à vitesse constante..
A votre droite, le vide… A votre gauche, un camion de pompiers qui roule à la même vitesse et dans la même direction que vous.
Devant vous, un cochon, qui est plus gros que votre voiture !
Derrière vous, un hélicoptère qui vous suit, en rase-motte.
Le cochon et l’hélicoptère vont à la même vitesse que vous?
Face à tous ces éléments, comment faites-vous pour vous arrêter ?
Je vous laisse deviner la solution cher lecteur, assez simple en fait, et qui necessite juste de changer de point de vu .