Nous vivons une grosse partie de notre temps, dans nos cocons, qui sont sensés être la représentation de notre idéal en tant que lieu de vie. Même si ça n’est pas le cas parfois, on fait du mieux pour que ça se présente comme tel.
La bulle qui nous défini le mieux, est avant tout, notre chez nous, là, ou nous conservons, tout nos trucs , qui sont sensés nous accompagner, toute la vie. On ne sait pas vraiment jusqu’à quel point nous avons besoin, du merdier, qui nous entoure, mais on ne sait jamais. Pourtant, nous naissons nu, et sans toit, c’est notre mère, qui nous recouvre de son sein, et nous donne notre premiere chose qui sert à nous couvrir, et à ne pas avoir froid. Le plus souvent, une couche, et un petit bonnet de tissu, font l’affaire.
La survie est le signe le plus significatif, de notre être, et de l’essentiel, de ce que nous sommes. La survie ne nécessite pas de toit, pas nécessairement, mais c’est utile, raison, pour laquelle, on est passé du chasseur cueilleur à l’homme sédentaire. Passage significatif, marqué par la représentation de la mort et de la prise de conscience de cet arrêt, qui fut imaginé depuis des temps immémoriaux, comme un passage. Toujours la survie, voyez vous, nous a poussé à nous imaginer, un monde, semblable au notre, à tel point que les Egyptiens, ont vu dans nos cercueils, une représentation à l’identique du monde, dans lequel nous vivons.
Mais la vie est le contraire de l’enfermement, et pourtant, nous passons le plus claire de notre existence, à y rester cloatrer, à tel, point que nous nous identifions à ce passage, qu’est la mort, à travers nos « de meurt », et non demeurés, comme on pourrait le penser.
Il faut réfléchir, et savoir, à quel point la vie est éphémère, et qu’il faut profiter de notre liberté, et cueillir le jour, qui n’est pas en notre maison, mais à l’extérieur.
Donc, sortez, et faites vos expériences.
La vie est courte.