Après avoir fait mon introspection, et avoir réfléchi, aux tenants et aboutissants de ma réflexion, j’en suis arrivé à la pensée suivante: on ne peut compter que sur soi même, car au final on est seul avec soi même et sa conscience.
Même si de temps en temps on vous tend des perches, et que parfois on essaye de vous aider, le plus gros du travail est à faire sur soi même, on se sauve tout seul, il n’y a personne d’autre qui puisse le comprendre.
C’est pas la peine de partir loin, dans la vie on est seul, et on est de passage, c’est à dire, que rien n’est permanent, pas même la douleur, avec le temps, tout passe.
Autre chose, il ne faut pas s’investir à comprendre le pourquoi du comment, nos besoins sont simples, et les réponses sont elles aussi simple à comprendre, il ne faut pas chercher midi à quatorze heure.
En d’autres termes, il y a les « vrais et les faux problèmes », comme me le dirait un ami. A toi de choisir ton camp.
J’ai choisi les faux problèmes pour échapper à la vie, et je le regrette, j’ai perdu l’essentiel, et au final, je perd mon temps, énormément de temps que je ne pourrai pas récupérer.
Cela ne me rend pas malheureux, c’est un choix, et le sablier du temps, continue à perlé, goute par goute.
Tic… tac… tic… tac… L’horloge de la vie tourne.
Qu’as tu fais de ta vie, et de tes talents?