Bon, je crois que j’ai détecté le problème avec les autres…
Ils n’ont pas le temps, et sont occupés par leur activités séculaires, métro boulot dodo, s’occuper d’eux, et j’ai compris, qu’il y avait un décalage entre leur rythme de vie, saturé, sans temps à perdre, et le mien, avec énormément de temps vide, et inoccupé.
Je n’ai rien à faire, et comme je m’ennuie, il m’arrive de provoquer des situations inhabituelles, pour attirer l’attention. Ce qui explique, pourquoi je me retrouve dans des situations paradoxales, ou je me met à réfléchir, sur certaines choses, auxquelles les autres personnes ne pensent habituellement pas.
Hormis peut être l’ enfoiré qu’on appelle philosophe, et qui en fait dépense son temps dans son activité de réflexion, mais peut on appeller philosophe, un vendu? Bloquer lui même dans le cycle infernal et ternaire de la vie. NON, je ne le pense pas, pour réellement réfléchir sur la vie, il faut une chose dont peu de gens disposent, du loisir du temps.
Je ne prétend pas comprendre la façon de penser des gens, mais j’ai assez de recul pour observer leur travers, et me rendre compte, qu’en réalité ils sont prisonniers, de leur famille, leur travail, leur possessions matérielles.
J’ai le loisir de faire ce que je veux, avec qui je veux, et pourtant, je ne fais rien, et je m’ennuie, parce que j’ai choisi de m’ennuyer, du coup, je le vie mal, ce mal être se traduit, par la volonté d’occuper ce temps, et de fuir l’ennuie à tout prix, mais ou que j’aille, celle ci me suit, c’est mon destin et je ne peux y échapper, en plus cette maladie, fait que je suis blasé de tout et que rien ne m’étonne vraiment.
Sans le savoir,
Je suis devenu, un roi, sans divertissement !