A présent, je choisi de parler de la sincérité, car c’est un thème qui me tient à coeur, et quand je dis que cela est important pour moi, c’est aussi parce que dans beaucoup de situations, je me suis retrouvé face à des gens qui étaient obligés de mentir, ou atténuer la vérité pour éviter le conflit, et cela m’a pénalisé, car au final, on se retrouve au pied du mur, on ne te parle plus, et tu ne comprends pas pourquoi. Parce que l’abscès n’a pas été éclaté.

Bon soyons sincère, ce thème fait suite à une publication Jenny, qui a elle seule, résume ce paradoxe, qui consiste à cacher des information, à mentir, et à manipuler, tout en simulant la sincérité, par des insultes, qui me sont directement adressés. Non, ce n’est pas non plus ça la sincérité, ce n’est pas provoquer le clash, ni insulter les gens à tout va, quand une chose ne nous plait pas. Ce qui de mon point de vu, est assez stupide.

La sincérité consiste simplement à dire ce que l’on pense au moment ou ça vient, on considére la sincérité comme l’intelligence du coeur. Mais de mon point de vu, il faut différencier, l’intelligence et la sincérité, qui n’est pas forcément un acte réfléchi, et qui peut conduire, lui aussi, au final à des quiproquo, et à des disputes. On ne contrôle pas tout lorsqu’on est sincère.

Comme pour tout, il faut un juste milieu entre l’acte réfléchi, et l’acte sincère, penser à ce que l’on fait et l’on dit, mais en même temps trouver un juste milieu, afin de ménager les tierces parties. C’est aussi ça prendre soin de son entourage, ce qui ne veut pas dire, qu’on leur ment, c’est juste un ménagement temporaire.

On ne peut pas tout dire de brut en blanc, il faut d’abord comprendre avant de dire, c’est un peu le problème de la sincérité, ne pas forcément connaître la portée de ses paroles. En d’autres termes, conscience sans science, est aussi une sorte de ruine de l’âme, vers la bétise.

“C’est une grande misère que de n’avoir pas assez d’esprit pour bien parler, ni assez de jugement pour se taire.”

La Bruyère

 » On peut bien essayer d’être parfait, d’être le plus juste possible, d’en savoir le maximum, d’être le plus logique etc, ça ne changera rien. On peut toujours tomber sur quelqu’un qui nous trouve particulièrement stupide ou chiant. Et à coté de ça, pour les mêmes propos, ou le même comportement d’autres trouveront que c’était au contraire très pertinent et intéressant.
Je pense qu’il faut réussir à se convaincre que le plus important n’est pas de plaire à tout le monde, ou d’avoir des choses à dire qui intéresseraient tout le monde, mais de se donner le droit de s’exprimer, même dans notre imperfection, même si on se rend compte plus tard que ce qu’on a dit était une ÉNORME erreur, ça arrive à tout le monde et c’est comme ça qu’on apprend ou bien si tout le monde nous désapprouve ( ce qui ne veut pas dire que ce qu’on a exprimer était faux ou quoi que ce soit, c’est juste une opinion, un jugement, pas la vérité absolue ). S’exprimer, être ce qu’on est, autant dans nos performances que dans nos imperfections, c’est un DROIT. Tu as le droit d’exister telle que tu es, l’important étant simplement de ne pas chercher à nuire à autrui. »

– Citation anonyme

« Si l’on ne croit pas à la liberté d’expression pour les gens qu’on méprise, on n’y croit pas du tout. »

Noam Chomsky

Je suis en perpétuelle souffrance psychologique, mon passé me poursuit, je pense donc à faire un break, ainsi qu’une mise au point.

Deux choses m’aident actuellement:

– La musique: j’écoute en boucle des morceaux de musique pour adoucir mon ressenti, et apaiser mon coeur. Je crois que la musique a un effet thérapeutique, sur ma psyché, et me permet de me reposer.

– Mais aussi la marche, qui permet de m’aérer le cerveau, d’extérioriser mes sentiments, quand je suis dehors, j’exprime mieux ce que je ressens. Mais cela m’aide aussi à mettre en branle mes idées, et de cogiter de manière plus fluide. De même c’est une forme de méditation.

Mais je n’arrive pas à aller plus loin. Je suis bloqué, dans ma résilience, je n’arrive pas à passer le cap, de subir, à être en action. J’aimerais pouvoir ne plus être dans une position passive, vis à vis de ma maladie, ainsi que de pouvoir agir, sur mon environnement. C’est à dire, porter des projets qui me permettraient de m’émanciper et de devenir autonome.

Avant cela, il faut que je sorte de ce cercle infernal dans lequel je me suis mis avec cette histoire de boucle, de disque rayé. Je dois adopter une démarche explicative plus poussé. Pour cela, je pense développer chacun de mes sentiments, en leur apportant, une forme d’explication de mes pêchers, même si je ne crois pas à la notion de pardon, j’ai besoin d’exprimer ce que je ressens pour passer outre.

Trois solutions s’offrent à moi, pour essayer de sortir de ce carcan, et passer une autre étape:

– L’analyse psychologique, en passant, par un professionnel de santé, ainsi que la psychiatrie, tout en sachant, qu’un traitement, ne me guérira jamais totalement, ce ne sera qu’un palliatif.

– L’écriture, qui me permettrait de sublimer, tout les sentiments que je ressens, en traduisant mes maux en mots et en prenant plus de recul sur les évènements du passé, que je met dans un tirroir, celui des souvenirs, et de la mémoire.

– Le sommeil, qui permet de récupérer, et de repartir sur de bonnes bases. Attention, toutefois, à ne pas en abuser, cela, pourrait poser des problèmes.

De la paranoïa à l’obsession, je voudrai passer à la guérison, afin de m’apaiser. Mais est ce que j’accepterai de guérir?

Peut être que je suis attiré par l’ombre, et que je me plait dans la fange de l’ignorance, et de la répétition des mêmes erreurs. Oui, je crois que je suis trop complaisant avec moi même, et je dois aller plus loin, et sortir de ma zone de confort.

Ces médicaments, m’ont fait perdre ma dextérité de penser, et la façon dont je réfléchi. Je suis vraiment déçu par ce que j’ai pu dire ici, et de ma façon de m’exprimer, qui est si pauvre, en vocabulaire, même si j’ai gagné en clarté d’expression, j’en ai perdu en richesse de vie…

Ma famille, a vu mon évolution, et s’est rendu compte, de la dégradation de mon état de santé, que je déplore.

Peu à peu, je disparaîs, et je n’existe plus en tant que personne, je suis lobotomisé, et j’en reviens au point de départ.

C’est le titre d’un ouvrage de philosophie de douglas Hofstader. La conscience, passe par des boucles, qui renvoie au moi profond, qui désigne, la conscience et l’âme.

Le fait de répéter, chaque jour les gestes, qui me rapprochent de mes victimes, ou plutôt moi en tant que victime (perçu comme tel par mon moi profond), est un acte de rédemption, j’essaye de me rapprocher au maximum de leur façon de penser, d’entrer en empathie.

Parfois, ça marche, mais je m’aperçois des décalages, entre ma personne, et l’autre, c’est à dire, son altérité. Et cela me rend triste. Je suis différent, et j’en ai bien conscience. Mais je serai toujours, à côté de la plaque, et je ne serai exactement, comme ces personnes à qui je m’en suis pris.

Je m’aperçois, que je ne pourrai jamais vraiment m’associer, à ces personnes, que je considère au fond, comme des « associés », car faisant partie intégrante de ma vie.

C’est la quête de cette personnalité, à la fois, à travers soi, et à travers l’autre, qui crée ce que je deviens, et détermine, celui que je vais devenir.

Et dans l’absolu, je suis victime de mes victimes. Je souffre, quotidiennement de ces espaces de non échange, et le fait d’être un étranger, dans leur vie. Et en même temps, je reproduis, les mêmes comportement en espérant avoir des résultats différents, ce qui fait de moi, un disque rayé, mais aussi un obstiné.

Une grande leçon de vie, et de ne pas abandonner ses rêves, même si ceux ci sont absurdes, même si ceux ci sont inateignables, ou bien illusoire. Il faut vivre ses rêves quel qu’il soit. C’est la force qui me pousse à continuer, malgré vents et marrés.

Malgrè, tout ce que j’ai pu dire, et faire, par le passé, je ne pense pas être, constamment dans le délictuel, ces évènements, ne sont que des épiphénomènes de ce que j’ai vécu par le passé.

Comme je l’ai dis, je n’ai pas autant souffert, et vécu de traumas, que sont qui ont eu une enfance sans parents, ou bien, dans une situation de guerre, ou de conflits. Certains, ont vécu le pire, et ont dépassé leurs handicaps, pour faire quelque chose de beau, et se surpasser… Je le sais, et je l’ai pris en compte.

C’est la notion de résilience, qui est importante, prendre une claque, et se remettre, de ce qui est arrivé, pour passer, outre, et sublimer, le laid. Je n’ai pas réussi à passer le cap, j’ai pris des coups, et j’ai fait des conneries. J’ai transféré ma souffrance sur les autres, en projettant mes peurs sur ceux qui étaient à ma porté.

Pire, j’ai détruit des vies, en écrasant des principes et des valeurs, qui étaient les miens. J’ai vraiment l’impression d’avoir trahi mes principes, autant que je puisse en avoir. La morale est bien évidemment lié à une éthique personnelle, mais aussi, sur le fond, je le crois, à la foi, et à des convictions, qui sont liés à notre humanité.

Je n’ai pas d’excuse. Mais comme je l’ai dis, plus haut, je ne suis pas que ça. Habituellement, je suis de tendance pacifiste, et j’aide mon entourage quand la vie me le permet. Je ne suis pas égoïste, et j’ai un tempérament calme, et posé. Sauf lorsque mes colères et mes idées noirs prennent le dessus.

Tout est une question de contexte, et de personnes que j’ai en face de moi.

Les évènements que j’ai vécu pendant cette période, ont remis en question, qui j’étais, ce que je représentais, et ma valeur propre. Suis je toujours un être humain? Qu’est ce qui me différencie de l’état sauvage, non pas animal, mais bien qu’est ce qui fait que je ne devienne pas une bête, un monstre?

Je crois que derrière, il y a la conscience, et je terminerai sur ça. La prise de conscience, et la remise en question perpétuelle, nous permet, de nous resituer. Comme je l’ai dis avant, j’ai perdu, une grande partie de mes capacités cognitives, et cela relativise, ce que je suis devenu, et la façon dont j’essaye de relativiser, et réinterprété ma vie.

– Sandokan Damaio, tu as une petite bite !

Tel est la nouvelle insulte de Jenny, arrivé, en 2022, elle parle de mon complexe, d’infériorité et du fait qu’elle soit considéré comme haut potentiel, et que je la jalouserai, en effet, cette dernière est suivi par l’éminente psychologue, Monique de Kermadek, bien que ce ne soit pas gratuit, , elle est considéré comme autiste, et haut potentiel, par cette personne.

Je réussi à rentrer, en contact avec un de ses anciens mari, du nom de Denis, qui me raconte, qu’elle est effectivement malade, mais que ça se rapprocherai plus de la schizophrénie que de l’autisme… Il me raconte son passé sulfureux, comment, il a perdu sa fille Gwen, a un procés par le passé. Jenny est une personne instable et manipulatrice.

Je commence petit à petit à cerner le passé de ce personnage… Qui d’ailleurs m’a fait rentrer en contact avec l’un de ses ex, qui la battait, un certain Abdoul Marega qui lui aussi a perdu un procés. Et elle a tenté de nous opposé l’un à l’autre afin que l’on se bouffe mutuellement. Stratégie, qui n’a pas fonctionné.

Jenny n’a plus de carte à jouer, pour me faire condamner, et m’avoir physiquement, elle me menace donc de me venir chez moi, et de me tuer. Je porte donc plainte à la police. Mais l’affaire est classé sans suite.

Je ne supporte pas les insultes de Jenny, et je me défend donc, en postant des vidéos pornographique, ou je fais un tribute, sur ses photographies. Chose que je vais regretter par la suite. En effet, suite à ces évènements, je suis contacter par l’ex de sa soeur, aurélie Godecaux, un certain Karim, qui prétend vouloir, m’aider, mais qui en réalité, est en manque d’argent… Un brouteur, qui me fait cracher de l’argent, en me faisant du chantage. etant fragile psychologiquement, je cède et perd une forte somme d’argent.

Mes parents, veulent donc me mettre sous curatelle, car je fais trop de conneries. J’ai donc du négocier avec mon paternelle, afin que la situation ne se reproduise plus, et que j’échappe, de nouveau à la justice.

Je dépose à nouveau plainte, mais voilà un an que l’affaire n’avance pas. En Octobre, 2022, je croise, une personne devant chez moi qui vient me saluer. C’est Jenny, les cheveux teint en blond, je fais mine de ne pas la reconnaître, pour éviter l’affrontement, et qu’elle ne soit pas impacté psychologiquement par notre rencontre.

– Sandokan Damaio, tu es un pédophile !

Voilà aux accusations fassent auxquels j’ai du faire fasse, durant l’année 2019, grâce ou à cause, c’est selon le point de vu ou l’on se place à l’affaire Magali Perrochet.

Jenny est un mère de famille, et je m’en effet pris à l’un de ses fils, en faisant des montages, que je regrette d’avoir fait. Mais, je n’ai jamais voulu avoir des relations, ou autre, avec lui, et en rien, je ne suis attiré par les enfants. Mais cela a suffit, pour avoir été attaqué pendant, un bout de temps, et considéré comme un monstre par ces deux personnes, qui ont complotés, tant moralement, que juridiquement à mon encontre.

En 2019, un certain Hayan Sidaoui, est harcelé par une personne anonyme, est random, suivi par des miliers de personnes, parlant de géopolitique, notamment, au Liban, car Hayan est français d’origine libanaise. Cette personne harcèle quotidiennement, par voie numérique (en piratant ses sites en le censurant ) et en contact avec son ancienne femme. Magali Perrochet est son pseudonyme, elle se fait passer pour une suissesse. Par contrecoup, un de ses amis qui a voulu le défendre, appellé, Stephane Sath, a été attaqué. J’ai voulu le défendre, et par coup de domino, elle a enquêté sur mon passé, et elle est tombé, forcément sur Jenny, car nos identités sont liés sur internet.

Les deux rentrent en contact. Je souhaite avertir Jenny, qui croit, que j’ai pris peur de Magali, ce qui n’était pas le cas. En fait, les deux étaient entrain de comploter, pour me faire enfermer, en faisant jouer leurs avocats respectifs, et en me rentrant dans cette glauque affaire d’harcèlement, et de pédophilie.

Je suis donc harcélé téléphoniquement, par Magali, ainsi que sur facebook, ou je suis porté des nues et insultés par elle et ses contacts.

Par chance, j’ai réussi à parler avec Stephane Sath, et Hayan, qui ont pris ma défense au début… L’affaire Magali Perrochet, est remonté jusqu’aux tribunaux, et Magali Perrochet est recherché activement par la justice, mais mystérieusement, passé disparu. Bien entendu, par lâcheté, Magali, ne voulait pas répondre, de ses actes devant la justice.

En parallèle, et me considérant comme instable, Stéphane Sath, et Hayan Sidaoui, décide de me lacher, après que l’affaire soit en bonne voie et que Magali ait définitivement disparu.

Durant la période 2016 et 2019, Bernard Werber m’évite, me bloque, et averti ses lecteurs, que je suis un fou dangereux, en d’autre terme, il m’a catégorisé et mit dans une case, sans vraiment savoir qui j’étais, sans chercher à comprendre ma personnalité, et sans me voir comme un individu à part entière.

Comportement totalement dédaigneux, et basé sur le jugement.

Je décide donc, de faire un travail de fond sur sa vie et son oeuvre. Je commence mon travail en 2015 en ouvrant mon blog sur les thanatonautes: thanatonautesinteractif.blogspot.com/ et qui aujourd’hui est bien étoffé. Je décide de rassembler des vidéos et des audios sur ma chaine youtube de fans de Bernard Werber, que vous retrouverez assez facilement. au bout de l’année 2019, je fais la connaissance de son biographe, Daniel Ichbiah, qui me propose de collaborer avec lui pour faire la publicité de son oeuvre.

C’est à cette époque que je reprends contact avec Jenny, qui apparemment était au courant d’une chose que je ne savais pas. Bernard Werber était sur le point d’attaquer Ichbiah en justice.

Il publie son livre en auto édition, et finalement Bernard Werber l’attaque effectivement en justice. En effet, ayant appris qu’il collaboré avec moi, et n’appréciant pas le contenu de sa biographie qu’il trouve trop intrusive (bien qu’il ait dicté mot pour mot l’entiéreté du livre) ce qui a mon avis était un prétexte, il décide de faire appelle à son avocat.

Je l’interpelle donc, via facebook, pour lui dire qu’il a eu un comportement de personne lâche. Il décide donc de m’appeller au téléphone, pour me parler de cet évènement. Il me ment alors, sur le fait que ce soit lui, qu’il l’attaque en justice, prétendant que ça venait d’albin michel.

Je ne comprends pas son attitude inique et injuste vis à vis de ce personnage, qui ne lui a rien fait.

Mais bon, c’est la vie.

Cette prise de contact, m’a permis de connaître personnellement Bernard Werber et non plus seulement à travers ses livres.

Pour comprendre, cette partie, il faut avoir lu, ce roman: https://www.babelio.com/livres/Godecaux-Donc-ca/1348007

C’est l’ouvrage de Jenny, qui raconte son amourette pour Bernard Werber. Comme je l’ai dis avant, j’ai fais du mal à Jenny et je m’en suis pris à Bernard Werber, qui par le truchement de Jenny, avait déjà des informations personnelles sur ma personne.

En effet, en 2015 au Soler, près de Perpignan eu lieu notre première rencontre physique. La veille Jenny m’avait supplié que j’envoie ma photographie. Evidemment, vous l’aurez compris pour la transmettre directement à Bernard Werber. Le lendemain, ça ne rate pas lors de l’évènement, il me reconnait, et m’appelle par mon pseudonyme.

Je n’ai pas supporté, cette honteuse trahison. Surtout, qu’elle a pretexté, que je faisais partie de sa famille, prenant son gosse, pour témoin. Raison pour laquelle, je m’en suis pris à lui, quelques temps plus tard, pour ceux qui ne l’aurait pas compris.

Suite à ces évènements, j’étais assez énervé… Vous le comprendre bien. Et une fois de plus Jenny m’a tendu une perche, que je me suis empressé de prendre. Elle m’envoie son livre au format word, toute du moins, une partie de son livre, que je publierai assez rapidement sur internet, et publierai par la suite, sous son nom sur amazon. Cette partie la, vous l’aurez compris, c’est pour avoir un excuse pour s’exposer en tant que victime, et justifier son attaque en justice, de part ma trahison, qui bien entendu, a été mise en scène par elle. Cette perverse manipulatrice.

Je l’attaque donc sur internet, en créant de faux profils, et en créant des montages de son fils, ainsi qu’en racontant sa relation (supposé, imaginé, romancé?) avec Bernard Werber, qui pour l’heure était en couple avec Amélie Andrieux. Jenny était alors en couple officiellement avec Stéphane Krausz…

La réaction de Bernard Werber est qu’il m’attaqua en justice pour diffamation. Mais en passant devant l’expert psychiatre, j’ai les justificatifs de l’hopital psychiatrique, qui dit que j’étais paranoïaque, ce que a joué en ma faveur.

Jenny elle aussi m’attaque en justice à diverses reprises, mais ses plaintes sont classés sans suite, ce qu’elle n’avouera jamais.

Je suis blanchi et me voilà sorti d’affaire.