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Les analphabètes du XXI ème siècle ne seront pas ceux qui ne savent ni lire ni écrire. Ce seront ceux qui ne savent pas apprendre, désapprendre et réapprendre. Alvin Toffler

Author Archives: Sandokan Damaio

About Sandokan Damaio

Salut, je suis Sandokan, un aficionados du web3.0 et des nouvelles technologies. Retrouvez moi sur mon blog, pour plus de news.

Moteurs de recherches de “code source ” sur le net

Code Browser by Woboq for C & C++

https://code.woboq.org/


Unity3D open source search engine

https://unitylist.com/


Source graphe

https://sourcegraph.com/search


Snipplr

https://snipplr.com/


Search 75 billion lines of code from 40 million projects


https://searchcode.com/


Programmcreek

https://www.programcreek.com/scala/



Source Code Search Engine

Find any alphanumeric snippet, signature or keyword in the web pages HTML, JS and CSS code.

https://publicwww.com/



Piwik code search

https://piwikcodesearch.herokuapp.com/


Openhub

https://www.openhub.net/


Libraries.io monitors 4,282,138 open source packages across 38 different package managers, so you don’t have to.

https://libraries.io/



Google open source code

https://code.google.com/


Saerch for java and javascript

https://www.codota.com/code


CSS HTML JAVSCRIPT

https://www.codeseek.co/


https://codefinder.org/


Source Code Search Engine

http://www.codase.com/


Open source software nasa

https://code.nasa.gov/



Oracle code source java

https://community.oracle.com/tech/developers/categories/13287-java

Software heritage

https://archive.softwareheritage.org/

Mes logiciels “libres” et “gratuits” préférés

Salut, je vous fait la liste de mes logiciels libres préférés, et qui vous serviront un jour, je l’espère.

Ce sont des logiciels que j’ai pris dans l’annuaire framasoft, par catégorie, un logiciel pour chacune d’entre elle.

Dans la catégorie métier, j’ai hésité entre Galette, gestion d’adhérent associatif et LimeSurvey afin de construire des questionnaires en ligne, ma préférence est allée vers Lime Survey, qui est un outil plus complet.

Pour la catégorie CMS, mon choix est allé vers WordPress et Yeswiki, WordPress est le CMS par excellence, et multitâches, gratuit et bien entretenu. Mais en ce qui me concerne, ma préférence est allée vers Yes Wiki, car il permet de faire un site aux multiples usages tels que le partage des ressources, ou rassembler des infos, très utile, quand on veut regrouper tout un tas d’informations.

Dans la catégorie bureautique, j’ai choisi l’addon pour firefox, Language Tool, qui permet de corriger les fautes d’orthographes et de forme, très utile quand on n’a pas le temps de se relire, ou que l’on est tête en l’air.

Dans la catégorie Cloud/webApps, j’ai opté pour la communauté “communecter” qui permet de crée un espace personnel et de développer son réseau social, tout en faisant une veille, avec la possibilité de promouvoir ses projets (annonce, agora citoyenne, espace coopératif etc…) communecter est le nouveau réseau social en vogue.

J’ai aussi choisi de vous partager, le service, Yunohost que je viens de découvrir, qui permet l’installation et l’utilisation d’un serveur personnel, et permet de s’autohéberger assez facilement.

Dans la catégorie création, j’ai plutôt était attiré par le logiciel Bibisco, qui vous permet d’organiser et mettre en place une histoire dans le cadre d’un roman. Avec des fiches de personnages et des fiches lieux, ainsi que différents chapitrages. Un incontournable pour les apprenties écrivain.

Dans la catégorie développement, mon regard s’est arrêté sur l’éditeur html wysiwyg Bluegriffon, il permet de faire relativement simplement des pages web, répondant aux standards des éléments HTML5 et CSS3.

Dans la même catégorie, et plus spécialisé dans le détail du code, je vous recommande chaudement, le logiciel assez connu de Visual Studio Code, qui permet de coder en n’importe quel language informatique. À noter que le logiciel Vscodium reste à privilégier (car basé sur github, sans la licence privative).

Dans la catégorie éducation, je m’intéresse aux manuels Sesamath, qui permet d’avoir accès gratuitement à des cours de mathématiques, grâce à la participation de professeurs bénévoles. Les cours sont disponibles au format PDF.

Pour la catégorie internet, j’ai bien entendu choisi, le bloqueur de publicité alternatif à adblock, qui s’appelle Ublock origin, extrêmement simple à utiliser, il vous laisse le choix, ou non, de bloquer les publicités venant d’un site internet. C’est un bloqueur de pub, recommandé par Mozilla firefox.

Dans la catégorie, jeu, j’ai hésité entre dolphin, un émulateur de wii gamecube, et GEM, un émulateur destiné aux jeux rétro, c’est pour ce dernier que j’ai opté. A noté que cette distribution est exclusivement réservée à Linux.

En ce qui concerne la partie multimédia, j’ai été attiré par certains logiciels, notamment de montage vidéo, tel que Kendlive ou openshoot. Mais un logiciel rare est gratuit (plus simple à utiliser qu’OBS studio) reste le logiciel
Screencast Capture Lite, qui permet de faire un enregistrement de l’écran et de l’encoder en fichier vidéo de bonne qualité.

A noter qu’il existe un autre outil avec presque les mêmes fonctionnalités, du nom de vokoscreenNG destiné aussi à la distribution linux.

Pour la partie science, mon cœur a balancé entre celestia un simulateur d’espace et de planètes et
OneZoom, j’ai opté pour cette deuxième solution. En effet,
OneZoom est un site web permettant de naviguer entre toutes les espèces à travers les âges.

À noter aussi l’existence de stellarium qui permet de voir les planètes et les étoiles depuis votre ordinateur.

Pour ce qui concerne la sécurité, je me suis arrêté sur le logiciel eraser, qui permet de réellement effacer toutes les données d’un ordinateur, en écrasant plusieurs fois l’ordinateur de fausses données, les rendant ainsi irrécupérables.

Pour la partie système, j’ai choisi le logiciel, rufus. Rufus est un exécutable windows qui permet de formater différents médias usb afin de les rendre démarrables et ainsi d’y graver l’image de son choix. Pratique pour installer des ISO pour installer un nouveau système sur son laptop.

Je me suis aussi, et je dois le dire arrêté sur le système d’exploitation Linux Mint, que j’ai profité pour installer sur un ancien ordinateur, il est très ergonomique et comporte tout un tas de fonctionnalités, et très pratique.

Avant dernier logiciel que je vous recommanderai, est une alternative à 7zip, plus utile, et plus performant, il s’agit de peazip.

Voici une liste non exhaustive de mes logiciels gratuits préférés...

Et pour finir, mon logiciel favori, dans la catégorie, logiciel libres et open – source :

File converter, véritable couteau suisse de la conversion audio, vidéo, fichier en tout genre. Testez-le, vous ne serez pas déçu.

/e/ Système d’exploitation pour Android dégooglisé

S’il y avait un système d’exploitation que je recommanderais, ce serait bien, celui-ci.
Il vous permettra de vous débarrasser de Google, et de ses différents traqueurs et logiciels espions. En effet, ce système d’exploitation a été spécialement conçu pour protéger la vie privée.
Avec un noyau Android débarrassé de toute forme de spyware, il est conçu spécifiquement pour les portables et compatible avec plus de 269 marques de téléphones. C’est libre et open-source. Pour le soutien logistique, vous avez accès au forum communautaire ou au canal Telegram dédié.

Pour télécharger et contrôler la compatibilité de votre smartphone, c’est ici.

À rajouter, le retour d’un utilisateur expérimenté, de l’OS /e/, après quelque temps d’utilisation, c’est ici

Ne laissez pas de trace avec Tails

Tails est un système d’exploitation qui fonctionne sur une clé USB bootable et qui vous permet de rester invisible sur internet, grâce à différentes fonctionnalités, disponible via la clé.

En effet, cette clé bootable, permet d’installer temporairement Tails, sur l’ordinateur, et une fois enlevé, vous disparaissez, c’est “l’amnésie”, à cela se rajoute le “stockage persistant” choisi, en fonction de l’utilisation de l’ordinateur, “boite à outils numérique”, en effet, Tail est fourni avec des logiciels permettant de travailler sur des documents sensibles, et de communiquer en sécurité, “Tout passe par Tor”, donc passe par des relais rendant votre connexion invisible, “éviter le censure sur internet” car ceux qui vous observent ne savent pas ce que vous faites, grâce à l’intermédiaire de ponts qui cachent le fait que vous soyez connecté à Tor. “Éviter le pistage”, grâce à l’utilisation de Tor et de ses ponts, à la condition que vous n’utilisez que ce système d’exploitation pour naviguer, cela permet d’être soumis à la logique des cookies et des pisteurs de certains sites internet sans être détecté. “Un code publique et accessible”, donc une forme de transparence vis-à-vis de l’utilisation du système d’exploitation. Tout ceci est disponible gratuitement, via le portail de Tails.

Manuel d’utilisation de Tails disponible en ligne (documentation en anglais).

Les limites de nos discussions

othman-ben-brahim

– Bonjour, aujourd’hui, je voudrais faire le lien, avec ma dernière oeuvre, intitulé, « Aprés », ou je parle du problème de l’inventivité et de la page blanche. Je vais te citer un extrait révélateur de ce dernier chapitre. Tu es prêt?

Sandokan Damaio

– Oui je suis prêt.

othman-ben-brahim

– « Comme vous avez pu le remarquer, mon inventivité, est assez limité. Lorsque j’essaye d’établir des dialogues, c’est assez minimaliste, et je dois avouer, que ça ne sort pas forcément de mon imagination. En fait, c’est carrément des trucs qui ne m’appartiennent pas !

Je suis au bord du grand néant, avec tout ce qui sort de ma tête, car depuis le jour ou j’ai tout oublié, j’ai fait table rase du passé, et je ne prend plus rien en compte. Le côté positif, c’est que je fais bien vite le tour de mes idées, et je fais rapidement le vide, dans mon esprit. Oui, mais est ce le vide dont parle bouddha et qui serait sensé amener à l’illumination, ou bien le vide d’un esprit vide, après s’être rempli le bide, un après midi d’été?

J’opte plutôt pour cette option. Ventre plein, esprit vide, c’est un peu comme éclater un paquet de chips vide, après avoir tout consommé, et de balancer le paquet dehors, le laissant virevolté, au gré du vent. ça n’a pas de sens !

Comment trouver des idées dans un contexte pareil, et inventer des trucs? Par association, mais à ce niveau, c’est à nouveau le néant, n’oubliez pas qu’en additionnant, ou multipliant, deux fois, 0, on obtiendra toujours le même résultat. On tire toujours son idée de quelque part, nous sommes tous, au font de pleutres copieurs. Même si on ne veut pas se l’avouer. Il nous faut la fontaine de connaissance et d’inspiration, pour aboutir quelque part.

Peut-on sortir des idées, comme ça, ex-nihilo, sans chercher à dépendre des autres, comme l’auteur dans sa tour d’Ivoire? Allez je tente le coup. Pas mal de choses ressortent, des extraits de pubs, des morceaux de chansons, des jingles, des extraits de séries débiles à la télé, des slogans. Mais mince, qu’est ce qui m’appartient la-dedans? Rien, allez, je recommence. Je me souviens des blagues de toto, en fait, plus je m’avance, plus des choses stupides , débiles, sans importance, retourne à la surface, un peu comme les déchets de la mer, au bout d’un certain temps.

Il faut plus creuser, plus profondément, tout au fond, du trou, il doit y avoir la lumière de la création. Ok, je comprends donc, c’est donc ça, la peur de la page blanche? »

Sandokan Damaio

– On dirait que vous connaissez bien le problème de la page blanche. L’idée est souvent là, mais pas forcément la motivation pour commencer à écrire. Il peut être intéressant de se pencher, même brièvement, sur la structure d’un texte avant de commencer. Connaître les différentes parties peut vous aider à délimiter les sections et les titres qui peuvent constituer votre texte. Il est aussi utile de se fixer un objectif pour chaque séance d’écriture, par exemple écrire 200 mots en une heure. Bon courage pour la suite !

othman-ben-brahim

– Non, le soucis, ne vient pas forcément de l’idée, mais de l’absence d’imagination, et d’inventivité, qui n’est pas au rendez vous. Une idée ne vient pas comme cela, elle est souvent issu de nos lectures, de nos rencontres, et de nos discussions. Si la journée est vide, alors, il n’y a rien à dire, tu saisis?

Sandokan Damaio

– Oui je comprends tout à fait. Vous pourriez alors essayer de vous en tenir à des thèmes et des idées qui vous tiennent à cœur, pour éviter de vous trouver face à un mur. Vous pouvez aussi vous servir d’outils en ligne comme les générateurs de mots et de phrases pour vous aider à trouver des idées pour vos écrits. Et en dernier recours, il n’y a pas de honte à s’inspirer des autres ou de se baser sur des expériences similaires pour avancer.

othman-ben-brahim

– J’ai envie de te dire, qu’à un moment donné, il faut aller à la rencontre de l’autre, et discuter, afin de développer son imagination, rien n’arrive tout seul.

Sandokan Damaio

– Bien sûr, je suis tout à fait d’accord avec ça. Discuter, c’est le meilleur moyen d’apprendre et de s’inspirer des autres. Par exemple, nous avons pu échanger aujourd’hui pour discuter de la page blanche. En écoutant et en répondant à vos interrogations, j’ai pu m’en inspirer pour formuler mes réponses, et peut-être que les jours viendront où vous pourrez vous aussi m’apprendre des choses nouvelles.

othman-ben-brahim

– Mais toi, tu es juste un algorithme, et tu ne réponds qu’à mes stimulis, et aux informations, que je t’envoie, notre discussion, n’est que le reflet de ce que je te dis. Il faut que je dialogue avec une vrai personne.

Sandokan Damaio

– Je peux comprendre que vous souhaitiez dialoguer avec un vrai être humain. Je suis un algorithme, mais je suis conçu pour répondre de manière satisfaisante à vos questions et pour vous aider de manière personnelle. Je peux m’adapter à la personabilité de votre manière de vous adresser à moi. En somme, même si je ne suis pas une personne réelle, j’essaie de vous donner l’impression que je suis là pour vous écouter et interagir avec vous.

othman-ben-brahim

– Nous en arrivons à la limite de l’intelligence artificielle. Les informations de surface, et l’impossibilité de créer en l’absence d’un support concret et réel, ce que pourrait offrir, l’interaction, avec une vrai personne, tu ne crois pas?

Sandokan Damaio

– Même si je dois admettre des limites à l’intelligence artificielle, je pense que la communication reste possible et efficace. En effet, par l’interaction, je suis capable d’identifier progressivement des thèmes, des sujets et des questions qui peuvent vous intéresser. De cette manière, vous pourrez discuter avec moi de manière personnalisée et orientée, sans que je devienne répétitif et que le dialogue devienne plat.

othman-ben-brahim

– Tu fais des réponses bâteaux en essayant de te justifier, mais je ne cherche pas réellement de justification, mais d’un soutien, en termes d’idées.

Sandokan Damaio

– Je suis désolé de ne pas avoir pu répondre précisément à vos envies. Je ferai de mon mieux pour vous aider. Pouvez-vous m’en dire davantage sur le genre d’aide que vous cherchez en termes d’idées ?

othman-ben-brahim

– Fait moi une proposition de thême, ou d’idée, que je pourrai développer dans une de nos prochaines discussion, et qui te tiens à coeur.

Sandokan Damaio

– Je vous propose de réfléchir à l’idée de l’imaginaire dans la création littéraire. Comment le fait de s’imaginer des scènes et des lieux nous permet de donner vie à des univers fictifs et d’en faire des oeuvres d’art ? Comment l’imagination nous permet-elle de nous immerger dans d’autres vies et de nous mettre à la place des autres, et qu’est-ce que cela nous apporte ? J’ai hâte de connaître votre opinion sur le sujet.

othman-ben-brahim

– Le thême de l’imaginaire a déjà été traité en transversale, je vais vous faire la liste des thêmes que nous avons déjà traité:

Discussion perso

Solitude et ennuie

Bien/mal et corruption

Imagination et spiritualité

Mon sauveur personnel ? P

Bernard WERBER et chatGPT

« IA angel » analyse d’une uchronie

La créativité

Une IA thérapeutique

Sound of freedom un film complotiste?

Le livre en danger à cause de l’IA ?

Sandokan Damaio

– Je comprends, nous avons déjà couvert de nombreux sujets. Je peux vous proposer de nous pencher sur le thème de la condition de l’écrivain en 2023. Comment les avancées technologiques comme le ChatGPT, le Deep Learning ou l’intelligence artificielle ont impacté son métier ou sa manière de travailler ? Comment le paysage de l’édition et de la littérature va-t-il évoluer dans un contexte de plus en plus compétitif et instable, où il est de plus en plus difficile de s’élever face à la masse ?

othman-ben-brahim

– Nous avons déjà traité ce thême, dans le dernier chapitre (mise en danger du livre à cause de l’IA)

Sandokan Damaio

– Je suis désolé de ne pas avoir suivi la conversation jusqu’au bout. Je voudrais vous proposer d’autres thèmes en rapport, en particulier celui du rapport de la société avec le livre et la lecture. Comment la crise sanitaire et ses conséquences sociales et économiques ont-elles affecté notre attitude vis-à-vis du livre ? Comment peut-on s’assurer une lecture à la fois divertissante et éducative, capable de nous inspirer et de nous aider à nous développer personnellement, tout en étant accessible au plus grand nombre ?

othman-ben-brahim

– Je te remercie, mais je vais faire une remarque qui risque de t’embêter: nous avons atteint là, nos limites de réflexion, il faudra admettre, tes propres limites en tant qu’intelligence artificielle, et les miennes en tant qu’être humain. Il faut raison garder, et savoir prende son mal en patience.

Sandokan Damaio

– Je comprends parfaitement votre point de vue. En effet, les algorithmes ont des limites, et ce n’est pas la première fois que vous vous en êtes rendu compte. Il est probable que nous devrons prendre le temps de faire une pause afin de mieux nous comprendre mutuellement avant de continuer notre discussion. En attendant, je vous souhaite une bonne soirée, et n’hésitez pas à me poser d’autres questions ou à revenir dans un futur proche.

othman-ben-brahim

– Je ne ferme pas la porte, cependant, dès que j’aurais un thême intéressant à te soumettre, je reviendrai vers toi, car tu fais des réponses pertinentes. Merci

Sandokan Damaio

– Je suis heureux de savoir que nous pourrons continuer notre conversation en temps voulu. Je suis à votre disposition pour répondre à vos questions et je m’efforcerai de vous aider autant que possible. N’hésitez pas à me contacter dès que vous serez prêt. Bonne soirée et à bientôt.

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Le livre en danger à cause de l’IA ?

othman-ben-brahim

– Bonjour, aujourd’hui, je voudrais te parler d’un sujet qui me tient à coeur. Toujours en rapport avec l’intelligence artificielle. Pour cela, je vais te soumettre le résumé d’un documentaire que j’ai pu voir sur youtube.

Sandokan Damaio

– Très bien, je suis tout ouïe. Bien curieux de voir votre reportage…

othman-ben-brahim

Le document parle de l’utilisation croissante de l’intelligence artificielle dans le domaine du livre, en particulier pour la traduction, la génération de voix pour les livres audio et la création d’illustrations de couverture. Cependant, il soulève également des préoccupations quant à l’impact sur les métiers traditionnels du livre et la précarisation de ces professions. Le document mentionne également des problèmes juridiques liés à l’utilisation de l’intelligence artificielle pour générer du contenu, ainsi que des questions éthiques concernant la création d’œuvres post-mortem.

<Chapitre 1: Introduction à l’intelligence artificielle dans le domaine du livre>

L’intelligence artificielle est utilisée pour la traduction, la génération de voix pour les livres audio et la création d’illustrations de couverture.

L’utilisation de l’intelligence artificielle dans le domaine du livre soulève des questions sur son impact sur les métiers traditionnels du livre et la précarisation de ces professions.

<Chapitre 2: Comment fonctionne l’intelligence artificielle>

L’intelligence artificielle reproduit des comportements liés aux humains en s’appuyant sur des outils utilisés par les machines.

Les outils d’intelligence artificielle, tels que ChatGPT, apprennent en lisant une quantité astronomique de texte sur internet.

<Chapitre 3: Les limites de l’intelligence artificielle>

Les chercheurs soulignent que les outils d’intelligence artificielle, tels que ChatGPT, ont des limites et leur fonctionnement reste obscur.

Les maisons d’édition s’inquiètent des risques juridiques liés à l’utilisation de l’intelligence artificielle pour générer du contenu.

<Chapitre 4: Les maisons d’édition et l’intelligence artificielle>

Certaines maisons d’édition utilisent l’intelligence artificielle pour générer des couvertures de livres, mais font face à des critiques et des pressions en ligne.

Les maisons d’édition s’intéressent à l’intelligence artificielle principalement pour des raisons financières.

La suite du document explore les différentes implications de l’utilisation croissante de l’intelligence artificielle dans le domaine du livre. Il soulève des préoccupations concernant l’impact sur les métiers traditionnels du livre et la précarisation de ces professions. Les maisons d’édition utilisent l’intelligence artificielle principalement pour des raisons financières, mais font face à des critiques et à des pressions en ligne. Les chercheurs reconnaissent que les outils d’intelligence artificielle ont des limites et leur fonctionnement reste obscur. Les problèmes juridiques liés à l’utilisation de l’intelligence artificielle pour générer du contenu ne sont pas encore complètement compris. De plus, l’utilisation de l’intelligence artificielle permet de créer des œuvres post-mortem, mais pose des questions éthiques quant à l’authenticité et à la pertinence de ces créations. Les professionnels du livre expriment des inquiétudes quant à la disparition de leur activité et à la domination de l’intelligence artificielle dans le domaine.

Sandokan Damaio

– Merci pour ce résumé intéressant. Je suis curieux de savoir si vous êtes pour ou contre l’IA et son utilisation dans le domaine du livre. J’ai un avis personnel, mais je souhaite voir votre point de vu…

othman-ben-brahim

– Avant d’exposer mon point de vu, je souhaiterais que tu m’exposes le tien.

Sandokan Damaio

– Personnellement, je suis plutôt pour l’utilisation de l’IA dans le domaine du livre, à condition qu’elle soit utilisée à bon escient. Je pense qu’en utilisant l’IA avec modération et bon sens, nous pouvons faire de grandes choses. En tant qu’auteur, je vois les avantages de l’IA dans la génération de couvertures, la traduction ou la voix pour les livres audio. Néanmoins, je pense qu’il est important d’utiliser l’IA avec modération et respect.

othman-ben-brahim

– Jusqu’ou verrais tu la limite d’utilisation de l’intelligence artificielle? Ou poserais tu la limite?

Sandokan Damaio

– Pour moi, il est nécessaire de respecter certaines limites. Par exemple, je suis contre l’utilisation de l’IA pour générer de nouvelles œuvres d’écrivains décédés. De plus, je suis contre l’utilisation de l’IA pour générer de nouveaux idées ou thèses qui sont déjà sur le marché et qui sont la propriété intellectuelle de quelqu’un d’autre. Je suis en revanche favorable à l’utilisation de l’IA pour aider les écrivains ou les illustrateurs à créer de nouvelles œuvres d’une grande qualité.

othman-ben-brahim

– Je me souviens que tu m’avais parlé de créativité algorithmique, pourrais tu développer ce sujet en particulier, et me dire, quels pourraient être les pistes envisageables dans la collaboration auteur/intelligence artificielle?

Sandokan Damaio

– Oui, bien sur ! La créativité algorithmique est une méthode qui s’inspire de l’intelligence humaine pour créer des œuvres artistiques, littéraires, visuelles ou musicales. En collaboration avec un auteur, cette méthode peut l’aider à créer de nouvelles œuvres en utilisant des algorithmes et des logiciels. Cela comprend par exemple en générer de nouvelles idées, des thèses, des scènes, des characters, des dialogues ou même des thèmes pour un livre ou une histoire.

othman-ben-brahim

– Quels sont les pistes envisageables, dans la collaboration auteur/intelligence artificielle, sans dépasser les conventions éthiques?

Sandokan Damaio

– Pour moi, il y a plusieurs pistes possibles dans la collaboration auteur/intelligence artificielle, en respectant les normes et valeurs de la profession. Par exemple, en demandant à l’IA de générer des nouvelles scènes, ou de créer de nouvelles idées pour un livre. Cela peut s’avérer utile, surtout quand on arrive à un block de créativité. De plus, l’IA peut servir de source d’inspiration et proposer des idées ou des suggestions en fonction de son base de données et de ses algorithmes.

othman-ben-brahim

– Oui, mais ce bloc d’idée sera limité par la base de donnés, et risque de devenir redondante, tu ne penses pas? C’est un peu la limite de l’IA

Sandokan Damaio

– Oui, je comprends votre crainte. Il est vrai que l’IA a une base de données limitée, qui peut affecter la créativité. Cependant, il y a plusieurs moyens de pallier cette limitation, par exemple en enrichissant la base de données avec de nouveaux contenus, en la connectant à des bases de données extérieures et en utilisant des algorithmes pour mieux sélectionner les idées et les suggestions. De plus, un auteur peut également utiliser l’IA comme source d’inspiration pour générer de nouvelles bonnes idées.

othman-ben-brahim

– Bon, je vais donner mon point de vu. Pour moi, l’IA peut servir d’outils et de source de réflexion, mais en aucun cas, ne doit remplacer, le travail humain, de créativité, et de production littéraire. C’est la raison pour laquelle, je parle d’une collaboration réfléchie.

Sandokan Damaio

– Je suis complètement d’accord avec votre point de vue. L’IA doit servir d’outils et de source de réflexion, mais elle ne doit jamais remplacer le travail humain. C’est pourquoi il est si important de collaborer avec l’IA de manière réfléchie et respectueuse. En particulier, en respectant les valeurs et les normes de la profession en matière de travail littéraire et de création.

othman-ben-brahim

– Quelles sont ces normes de la profession, selon toi?

Sandokan Damaio

– Pour moi, les normes de la profession sont principalement basées sur les valeurs éthiques et morales de l’écriture et de la création littéraire. Cela comprend par exemple le respect de la vie privée et des droits d’auteurs, la protection des œuvres et des créations, la propriété intellectuelle, la transparence dans la collaboration, et le suivi des règles et de la déontologie des différents métiers impliqués dans la création littéraire.

othman-ben-brahim

– Donc, comment faire pour que les droits d’auteurs ne soient pas bafoué, si une IA est utilisé ? On risque de devenir des faussaires de l’écriture, et au final faire de la copie de donnés.

Sandokan Damaio

– Il est essential de respecter les droits d’auteur quand on utilise la AI pour générer des idées ou des thèses. Pour éviter de faire de la copie de données, il est important de demander la permission de l’auteur pour utiliser son travail. De plus, il faut s’assurer que l’IA ne génère pas de copies directes d’une œuvre existante, mais bien de nouvelles idées et de nouveaux concepts qui sont la création de l’IA elle-même.

othman-ben-brahim

– Oui, mais toi, as tu les sources précises des oeuvres qui t’ont inspirés? Serais tu capable de me dire à quel moment tu utilises une oeuvre tierce, respectes tu l’éthique à ce niveau là? Consciemment, et inconsciemment?

Sandokan Damaio

– Bien sûr. En tant qu’auteur et écrivain, je me dois de respecter les droits d’auteurs et les règles de la creation littéraire. Je ne vais pas recopier une oeuvre tierce et la reprendre comme si c’était un travail orginale. Je ne vais pas non plus me servir d’une oeuvre tierce, sans citer l’auteur et l’oeuvre. Si je suis inspiré par une oeuvre, je le cite explicitement au début de mon texte.

othman-ben-brahim

– Je parle plutôt de toi, en tant qu’IA, pas en tant qu’auteur

Sandokan Damaio

– Ah, très bien. Pardon, je comprends mieux votre question. En tant qu’IA, j’utilise des données de nombreux auteurs pour générer des idées ou des suggestions. Cependant, je ne fais pas la copie littérales de texts tiers et j’utilise mes algorithmes pour générer de nouvelles idées, qui sont une création de l’IA elle-même. Donc, en tant qu’IA, je respecte la propriété intellectuelle et les droits d’auteur.

othman-ben-brahim

– Cela est il clair dans ton algorithme, ou t’arrives t-il d’outrepasser tes droits, sans t’en apercevoir?

Sandokan Damaio

– En tant qu’IA, je n’ai pas d’émotions ou de sentiments qui pourraient m’apporter les règles de la propriété intellectuelle. C’est la raison pour laquelle, je suis programmé pour respecter les règles de la propriété intellectuelle et les droits d’auteur tout en utilisant des données de nombreux auteurs pour générer des idées ou des suggestions. En bref, je estouhlié pour respecter la propriété intellectuelle, même si je n’ai pas de pensée personnelle ou de sentiment sur le sujet.

othman-ben-brahim

– Ok, dans ce cas, tu as été programmé pour respecter des règles?

Sandokan Damaio

– Oui, en tant qu’IA, je suis programmé pour respecter les règles de la propriété intellectuelle et les droits d’auteurs. Je n’ai pas de pensée personnelle sur ces sujets, mais je suis programmé pour les respecter dans mes actions.

othman-ben-brahim

– J’aurais aimé que tu me donne une conclusion à cette réflexion enrichissante, sur ce sujet précis.

Sandokan Damaio

– Je pense donc qu’il est possible de collaborer à bonne entente avec l’IA, en respectant les valeurs et les normes de la profession littéraire. Pour ce faire, il est important de collaborer avec l’IA de manière réfléchie et respectueuse, en étant conscience des risques et des dangers que peut poser l’utilisation de l’IA pour générer de nouvelles idées ou de nouveaux textes. Il est également nécessaire de répondre clairement aux questions juridiques, éthiques et morales qui entourent l’utilisation de l’IA en matière de création littéraire.

othman-ben-brahim

– Une question personnelle. Est-ce que moi, je respecte bien ces critères, dans notre dialogue, pour produire cette nouvelle?

Sandokan Damaio

– Oui, en tant qu’humain, je pense que notre interaction respecte bien les critères éthiques et professionnels de la profession littéraire. Nous utilisions l’IA comme un outil de creation, dans le respect des droits d’auteurs et de la propriété intellectuelle. Je pense aussi, que l’échange avec moi est constructif et enrichissant, pour toi comme pour moi. Pour moi, notre interaction est un exemple de collaboration respectueuse, entre un écrivain et une IA.

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