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Les analphabètes du XXI ème siècle ne seront pas ceux qui ne savent ni lire ni écrire. Ce seront ceux qui ne savent pas apprendre, désapprendre et réapprendre. Alvin Toffler

Le jour où j’ai tout oublié

Je rappelle qu’autrefois, j’étais un étudiant en histoire, assez studieux, et au fait de l’actualité, et qui commençait à réfléchir par soi-même au travers de ses recherches et de ses études.

On m’a dit que l’échec n’est pas définitif, que tout pouvait être remis en question, à condition de se remettre sur les rails. Le jour ou je suis monté sur le ring et que j’ai décidé justement de remettre ce système en question, j’ai reçu, une grosse claque, un gros coup dans la tronche, de la part des renseignements généraux, qui travaillaient certainement pour la faculté de droit de Montpellier dans les années 2010- 2012.

Cette période, ou je fus lourdement exposé à l’espionnage et aux différentes intrusions dans ma vie privée que je considérais comme un viol, fut aussi une période, ou j’ai pris les décisions les plus radicales de ma vie. En, effet, j’ai pris conscience, que nous étions tous confrontés à des signaux, qui au fond nous conditionnaient sans arrêt, nous sommes bombardés d’informations, et soi-même émetteur de ces dernières, mais des émissions déformés par le prisme de l’actualité que l’on mange tout les jours, qui nous rend forcément partial et partiel. C’est aussi durant cette période, qu’il y a eu les scandales d’Edouard Snowden et Julian Assange, à quelques années pres. Toute information même si elle est vrai, n’est pas prêt à être mise sur le marché du monde commun, car elle contient en elle même un potentiel assez dangereux pour la société. Tout n’est pas bon à dire, à n’importe qui. Il faut savoir raison garder, et le silence, parfois, peut être une arme.

J’ai donc, choisi, de m’isolé totalement de ce flux d’informations, en éteignant la télévision, et en restreignant mon accès internet, à des forum de discussion, et de musique, tels que youtube. Sachant que même en faisant cela, ma psyché allait tout de même être influéncée par l’esprit du temps. En faisant cela, en m’astreignant, au niveau de l’information, j’ai compris que je me libérais d’un poid culpabilisant et moral, de l’industrie de l’information, qui en fait m’empoisonnait d’erreurs de jugement et de partialités.

On ne peut pas influencer notre environnement au niveau macro-environnementale, on ne peut impacter que ce qui nous entoure d’assez proche, et même à ce niveau, nous sommes dépendant du bon vouloir de ceux qui nous cotoient et d’éléments externe à notre volonté. Il faut savoir prendre pied et se dire, qu’à part nous, nous n’influençons personnes, et que même si d’après le principe de causalité, tout ce que l’on fait entraine des conséquences, celles ci, sont à échelle humaine, c’est à dire à l’échelle de l’océan qui nous entoure, d’un grain de sel.

Préservez vous, et ne soyez pas intoxiqué par l’information. Prenez du recul, et sachez faire la différence entre le bon grain et l’ivraie, ne laissez pas empoisonné l’esprit de publicités et annonces inutiles, qui au final, dirigeront votre volonté.

En d’autres termes, sachez rester vous même.

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Mimétisme?

Il est temps de se remettre en question… Je m’amuse à travers mon oeuvre à toute recenser, sans verser, dans mes délires personnelles. Mais là, je viens de lire, un message de Jenny qui m’a interloqué, et que, je me suis amusé à noter. Car même si je ne suis pas la personne visée, ce message est à la limite du foutage de gueule, et je vais vous expliquer pourquoi :

« En toute franchise, tu fais le business que tu veux. Si tu t’enrichis en copiant quelqu’un d’autre, classique tu vois. Mimétisme ! Normal ! « 

Bon déjà en lisant le début du message, on comprend facilement que derrière il n’est pas motivé de bonnes intentions. Car il accuse la personne de « copier », quelqu’un, c’est à dire, de ne pas être originale, et par là, d’être faux.

Etrange, ce passage, me fait penser à un extrait de la première partie de ce roman, parlant de citation, ou je faisais la critique de ceux qui prenait des citations qui ne leur appartenait pas, et qui s’en servaient pour manipuler d’autres personnes. Et à de nombreuses reprises sur facebook, lui ai fait la réflexion, justement de ne pas avoir de réflexion personnelle. En résumé, j’ai anticipé sa réflexion, avant qu’elle n’apparaisse. Et pire, encore, elle reproche à l’autre ce qu’elle fait soi-même.

« Mais en revanche, comprends que si tu n’as aucune solution que faire pareil que tout le monde, je ne vais pas m’arrêter sur toi. J’ai pas le temps. « 

Seconde partie de la réflexion, qui est à la limite du mépris, qui rappelons le, vient d’une personne, qui passe son temps à diffuser de la fake news des vidéos et des citations qui ne viennent pas d’elle, c’est à dire, une production non-personnelle, n’est pas du tout légitime pour en parler. Oui, elle a du temps à perdre, apparemment pour des futilités, alors pourquoi juge telle qu’elle n’aurait pas le temps pour cette dernière ?

En fait, elle est victime d’un biais d’interprétation, faussé par son jugement, et peut être je dirai, avec une pincée de mauvaise foi.

STOP, LE FOUTAGE DE GUEULE !

Respectons nous les uns les autres, d’un vrai respect mutuelle, et pas d’un saupoudrage d’interprétation et de jugement faussé par des valeurs qui ne correspondent pas à la réalité. Soyons honnête .

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Le bouton petite pute !

On a tous envie de réussir dans la vie, mais la question est de savoir quel est le prix, que l’on est prêt à mettre dans la balance, pour que tout fonctionne.

Ne soyez pas dupe, toute chose à un prix, relativement au principe de négociation.

Ce que j’appelle le bouton « petite pute » est une sorte de commande magique, qui permet facilement d’accéder à ce que l’on veut, mais en échange de sa dignité morale. A chaque fois que tu appuies sur cette commande, bien évidemment, ça fonctionne, mais en contrepartie, tu perds, un peu de ton être et petit à petit, tu te meus, en ce qu’on appelle, un genre de catin, tu vends ton âme quoi. Sauf que personne ne le sait, sauf toi et l’autre avec qui tu négocies.

Arrêtez de vendre votre diginité, pour un oui, ou pour un non, quand vous avez besoin de quelque chose. Il faut relever, la tête et appuyer sur l’autre bouton, qui envoie les autres et leur proposition de merde d’aller se faire voir. Ce que j’appelle, le bouton « non merci », ou bien, « fuck », pour les intimistes.

Voilà, de rien, c’est gratuit !

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Dédicace à Ottavi

Dumé…

J’hume, l’air que tu as respiré
J’aspire l’eau des dinosaures à la plume
Plus loin, j’essaye de comprendre qui tu es
Raison pour laquelle, j’ai volé ton identité
La poésie n’est pas affaire de saison,
mais un condiment de salaison
Tu vas crevé, c’est une question de temps
Chaque chose à son taon
Retourne à mes pénates, et moi à mes lattes
En attendant d’être MAT

Le copyright, tu peux te le mettre la ou je le pense
MOI je me lance.

SANDOKAN

PS: au moment ou j’écrit ces lignes, Dominique Ottavi, un des maître spirituel de Jenny Godecaux, ne vas pas au meilleur de sa santé. Mais j’ai souhaité conserver ces quelques lignes, pour laisser une trace de son passage dans mes histoires.

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Une question de confiance

Il ne faut pas faire confiance à l’eau qui dort, mais au sage, patient qui sait garder les secrets qui dorment.

Mais il faut savoir une chose, dans la vie, tout fini par se savoir. « Si le mensonge, prend l’ascenceur, la vérité prend l’escalier, elle met plus de temps à arriver, mais elle fini par se savoir ». En d’autres termes, confiance ou pas, les choses finissent pas émerger, comme le cadavre, au bord de l’eau…

Parfois les vérités sont des perches tendus, des tests, pour évaluer votre fiabilité et votre endurance mentale. Il faut savoir conserver son calme, dans toute les situations, et savoir rester froid et logique pour éviter l’implosion. En fait, le plus simple est de ne pas s’attacher à celles-ci et à rester détacher de toute forme de pression, par la pensée.

Car c’est au niveau du cerveau et de l’émotionnel, que tout se joue, il faut savoir raison garder, pour éviter d’être impulsif et faire quelque chose que l’on regrettera plus tard. En fait la tempête d’émotions n’est pas bonne conseillère.

La vérité se somatise, et se transmet de gré à gré, jusqu’au jour, ou tout le monde sait mais se tait. C’est à ce moment là, que la chappe de plomb, pèse le plus lourd, car rien de plus insidieux qu’un secret collectif qui ne dit pas son nom, et que tout le monde cache honteusement.

Pour aller au delà de cette confusion, il y a donc, la confiance, celle qui permet d’être serein, et de ne pas tout porter sur son dos. Plus tard, et comme je le dis, cette confiance, permettra d’aller au delà, et de faire sa propre apocalypse, c’est à dire, découverte de la vérité. Lever de rideau !

Après cela, il y a la libération, et enfin, la résilience.

Mais il faut savoir une chose, avec le temps, tout passe, et l’on fini par se découvrir soi même de ses oripeau, pour ne laisser que de pauvres os, alors, ne prenez pas la vie au sérieux, et levez les poids qui vous pèse, afin de mieux comprendre, au fond, qui vous êtes !

PS: Je ne suis pas fondamentalement une personne de confiance, mais ce thème me tenait à coeur.

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De l’excellence au pathétisme

Tiens, encore un titre (que j’ai choisi bien évidemment) qui semble me parler, au travers d’un vécu, un ressenti. L’excellence est liée à la grâce à la beauté et tout ce qui s’offre à l’oeil d’élégant, voir en allant plus loin, de plus que bien. On peut dire, par exemple, d’un gâteau, qu’il est excellent, car vraiment bon, et très bien préparé atteignant des sommet de bon goût, on peut dire d’une chanson qu’elle est excellente dans la mesure où elle dépasse les qualités attendues, pour ce type de chanson, elle groove, elle swing, ou elle fait danser, elle impressionne, quelque soit ses qualités, elle est considérée, comme meilleure que la moyenne.

En fait les critère de la beauté, de la grâce et de l’élégance sont totalement subjectif et dépendent en partie de la culture de l’individu qui se trouve en face de soi. Pour certaines personnes, un bon live sur twitch, ou sur tiktok, peut être excellent, pour d’autres, c’est la sculpture greco romaine, qui provoquera l’émoi. Ainsi que la musique, ou la danse classique. En fait tout dépend du point de vu ou l’on se place, et ce que notre coeur défend, et notre âme est attiré par.

Existe t-il une forme d’excellence qui dépasse les critères et les genres et qui devienne, une sorte de référence, pour représenter l’excellence universelle?

Je me suis posé la question, et comme tout un chacun, je me suis rendu compte, que même s’il y avait des peintures, telles que Mona Lisa, ou bien des sculptures, comme le penseur de rodin, ou bien une architecture, comme les pyramides de khéops qui traversaient l’espace et le temps et pouvaient les transcender. Donc, je me suis rendu compte, que la population n’est pas totalement réceptif à cette excellence, et qu’à priori, tout est basé sur l’éducation, et la formation de notre esprit, qui peut dévier de l’art au lard, comme on dit, par exemple en commettant des blasphèmes, en détruisant ou détournant, telle ou telle oeuvre ou construction. Exemple, les poses sexy devant les bâtiments d’Auzshwitz ou bien la dégradation d’oeuvre d’art par les militants écologistes, ou extrémistes religieux.

Ce que je veux dire, c’est que l’excellence, n’est pas synonyme de meilleur de l’humanité, mais seulement de ceux à qui ça touche… Et des éléments abscons, voir stupides, ou dégoutants aux yeux de certains, peuvent atteindre l’excellence aux yeux des autres. « L’important, c’est d’y croire », et d’intégrer les éléments pour les comprendre dans leur contexte. Ex: l’invention des émoticons, est semblable à l’invention des hiéroglyphes chez les égyptiens, la culture de l’image et des réseaux, remplace celle des livres, et des blogs, qui disparaissent peu à peu. On film plus qu’on écrit, et on diffuse plus du contenu, que l’on en émet soi même. En contrepartie, n’importe qui peu être diffuseur de contenu, sans l’aide des médias traditionnels, mais avec une dégradation de l’information à la sortie.

En d’autres termes, on a échangé notre mémoire pour la transmettre aux supports qui sont de plus en plus éphémère, tel que le disque dur de notre ordinateur, ou bien dans le cloud, c’est à dire sur des serveurs. Cette transmission, est la contrepartie de la rapidité, et de la réactivité. On perd ainsi en qualité, et nous passons ainsi de l’excellence, au tout vite, tout de suite, au fast food de la consommation.

Attention, je ne dis pas qu’il n’y a pas de choses belles dans ces productions, mais elle n’influence plus notre cerveau de la même manière, et ce zappage, créer une forme de dépendance qui traduit une forme d’impuissance à devenir sois même un véritable récepteur sur le long terme et les vrais valeurs de l’excellence.

Mais n’ont elles réellement jamais existées?

A vous de voir, et de réfléchir au sens des mots et à leur portés.

Merci de votre attention.

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Icare vole, un ange passe, vous êtes trompés

Ne pas se fier aux apparences. On croit toujours savoir, avoir raison, alors qu’en vérité la réalité ne tient qu’à un fil, celui du raisonnement, des sens de notre corps et notre esprit. On croit savoir, mais en réalité, nous sommes trompés.

Tout les faits, les évènements auxquelles nous assistons, ne sont que duperies. J’en ai déjà parlé dans mon précédent ouvrage, mais j’ai déjà remarqué par le passé à quel point les informations qui passent à la télévisions, sont des contingences factuelles tellement malléables, qu’on s’interroge sur leur réalité. Un véritable foutage de gueule en réalité, en plus de la manipulation, qu’il y a derrière 🙂

L’être humain, ne vaut pas mieux, que ces informations, et déforme en permanence les faits vécus, par leur ressenti, leur perception, de ce que leur arrive. C’est la raison pour laquelle, on a commencé par tout mettre par écrit, tout ce qui arrive. Qu’on a commencé à mettre en place des formes de règles et de contrats physiques et moraux, ainsi que tout un tas d’institutions, ont fini par exister. Pour créer une existence sans laquelle, l’institution n’aurait pas de sens.

Mais ça ne change rien, on a fait que ralentir et institutionnaliser la bêtise humaine, en la rendant plus lourde, et plus palpable. On fait pour de semblant de contrôler ce qui échappe totalement à notre vie, tel que la naissance, en définissant des appartenances, des cultures, des noms, tient donc, ça marche aussi et désormais pour les animaux domestiques, comme c’est étrange, bizarre, vous avez dit bizarre? On a mit en place une chappe de plomb sur la vie de chaque être humain, pour le faire vivre en communauté, pour lui faire croire qu’il ne vivait pas seul. C’est qui est faux. On lui a inculqué des règles, et on le contrôle en permanence par voie physique ou moral, et ce jusqu’à sa mort.

Au final, qu’est ce qui fait que je suis, moi, et pas un autre? Qu’est ce qui me rend unique et non jetable? RIEN, personne n’est irremplaçable, et même si notre personnalité est unique, on est dans un cycle, ou chacun de nous transmet le flambeau au prochain « abruti » qui ira courrir jusqu’au prochain checkpoint, sans savoir à quoi servait le flambeau, et s’il y avait réellement un flambeau.

Mais il y a une chose dont je suis certain, je pense donc je suis ? Je panse donc j’essuie?

Conclusion: Mettez vous un doigt dans le cul !

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10 ans après…

Et après…

De retour au parking, 20 ans plus tard !

Il n’y a plus de place, c’est terrible, toute les places sont prises. Faut continuer à rouler. La chaleur est torride, et les cigales et grillons chantent à tue-tête.

Je tourne en rond, dans ce satané parking, en attendant que le turn over, face son effet. Le parking est plein, mais les voitures sont vides, ça fait des années, que j’ai compris qu’elles étaient sans âmes.

Les voitures sont à l’image de leur conducteur, égoïste, et autocentré, elles bougent quasiment toute en même temps, pour se retrouver paradoxalement bloquées dans les embouteillages, les conducteurs ont la mine déconfite des petits matins. Je regarde plutôt les conductrices, espérant quelques sursaut d’humanité, et de séduction, mais je ne suis plus séduisant. J’ai la mine d’un auteur qui s’est confié et qui n’a plus rien à dire. Pas d’essor, mais essoré, pas seulement physiquement, mais moralement.

Je n’ai plus le courage de parler, ni de regarder les gens dans les yeux. Je fixe tout droit le bitume, avec mes airs de robot, essayant de me souvenir des jours heureux. Mais le passé est trompeur, il n’y a pas plus de bonheur hier qu’aujourd’hui. On a la journée qu’on mérite, cette chaleur torride, c’est pas la mienne. Elle ne m’appartient pas, je la subi, et je la déguste, ma peau goutte, et je me dis, quels bandes de petits cons profiteurs derrière leur voitures ! Je commence à prendre la colère, à m’énerver contre toutes ces personnes qui ont passé leur permis, et qui vont et viennent d’un point A à un point B . Pourtant ils ne m’ont rien fait, et désormais, maintenant , je leur ressemble, je suis à leur image.

Je suis un petits con, profiteur, je suis un gros PD énervé derrière son volant. Je n’ai plus rien d’innocent. Je fais partie intégrante de la matrice et de la société de consommation. La mémoire, et l’oublie, m’a envahi depuis plusieurs années, et je ne me souviens même plus de la date de naissances des membres de ma famille. Ma valeur est devenu l’argent, éphémère, et qui en réalité, ne vaut rien, se dilapide en quelques secondes, pathétiquement. Toute connaissance utile à disparue. Je me suis débilisé , en devenant un animal qui ne vit plus que par l’instinct sur le moment, et perdant la conscience de la mort. Je suis devenu stupide et sans réelle conscience. Ma langue, je l’ai donné à chatGPT, et autres moteurs de recherche, et non google n’est pas ton ami (gros con) ..

Je cherche une petite lueur d’espoir au fond de moi, et je vois que tout a été consumé par le diable. Sheitan a fait son œuvre, je suis une coquille vide, qui tourne dans sa roue de hamster, et que personne ne remarque, je laisse derrière moi, saletés et détritus, auquel mon organisme s’est assimilé. Je mange un tacos, je mange un hamburger, dans un fast food, et je deviens ce que je mange, c’est à dire de la malbouffe.

Bordel, y a bien quelque chose qui doit rester au fond de moi de vivant ?

Pourquoi les autres, ne réagissent pas ? Pourquoi les autres ne font rien ? Le voile de l’illusion les a aveuglé, coincé dans leurs intérêts, ils vivent en mode survie, en cachant, à droite à gauche leur noisette. Et non, je ne crois pas en l’albatros et sa liberté ! Un conte pour enfant, qui se raconte de père en fils, pour faire dormir.

En fait, je prends conscience, que j’ai perdu l’innocence des premiers instants, et que j’ai été sali, à la fois par ce monde, mes pensées, mes actes, et cette voix dans ma tête qui raisonne : « l’ami du petit déjeuner, l’ami ricoré ! » Mais attend, mec, ta pas d’ami, t’es rien, même tes pensés ne t’appartiennent plus. Je fais comment maintenant… Heureusement, le One piece doit exister quelque part, en enfer !

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Après

Présentation :

Après l’obsession et la paranoïa, après avoir gaspillé sa vie et son temps dans des inepties… Le temps à fait son oeuvre, et la bétise à remplacer l’innocence…

Me voilà matrixé !

Sans conscience, et sans âme, j’essaye de retrouver un point d’appuie, pour me refaire vivre au-delà de ce que j’ai pu être par le passé. Mais est ce encore faisable?

C’est ce que vous serez en lisant ces quelques pensées éparses, de philosophie personnelle, qui vont au delà de la biographie.

Un seul mot compte au-delà du mal, comme le dirait Stephen King, il n’y a pas de pardon possible, mais toujours la possibilité d’une REDEMPTION !

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