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Les analphabètes du XXI ème siècle ne seront pas ceux qui ne savent ni lire ni écrire. Ce seront ceux qui ne savent pas apprendre, désapprendre et réapprendre. Alvin Toffler

Playlist musicale

La musique est omniprésente dans l’écriture de cet ouvrage, je vais donc faire une petite liste que j’écoute en écrivant ce livre.

Je voudrais être un fauteuil de coiffure pour dames :

Rush E:

All dead, all dead:

Destiny El choclo:

Le générique de la série 1,2,3 saison 5:

Bon, ben voilà, salut, les amis…

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Thèse antithèse foutaise !

Vous l’aurez compris, ce roman, va vers sa fin… J’ai parlé de ma naissance, de mes histoires, et de ma maladie. Je n’ai pas parlé de la thérapeutique, même si j’ai fait allusion à des pistes de médication, personnelles, telle que la marche, la musique, la lecture, l’écriture, le sommeil.

Ce n’est pas suffisant, mais je rejette toute forme de médecine alternative, et la médecine en général aussi. Je ne pense pas que ce soit utile d’en discuter, cela n’est juste pas ma tasse de thée.

La vie est courte, et il faut en profiter !

J’ai perdu énormément, et même si dans cette histoire, je raconte des conneries que j’ai pu faire, j’ai l’impression, que sur le long terme, je suis la seule victime, et que je souffre continuellement. Mais c’est mon choix, ce que j’ai choisi ! Donc, je ne m’en plains pas.

Pour aller plus loin, je vais tenter de continuer à poster mes pensées sur les réseaux sociaux, sous forme de petits textes, et peut être ici, sous la forme d’un autre ouvrage, qui les regroupera. J’aimerais aussi pouvoir échanger, avec le maximum de monde, et créer des interactions, pour faire des romans interactifs et dynamiques, quelque chose qui n’appartienne pas qu’à moi.

Je tend aussi à être accessible. C’est à dire, que ce que je publie est en pratique libre de droit, que tout le monde se l’approprier, le modifier, ou bien même se torcher, avec, si tel est sa volonté. Je ne lis plus beaucoup, même s’il est conseillé de lire, pour écrire, je préfère mettre uniquement ce que je pense par écrit, et non l’écrit du voisin ou du philosophe qui est mort, il y a 2000 ans, avec tout le respect que je leur doit. J’ai envie d’être authentique, je ferai donc, de mon mieux, pour respecter cette volonté.

Mes pensées vont vers vous cher lecteurs, qui avez partagé ces quelques moment avec moi. J’espère ne pas être le seul à psychoter, à voir les morts, et à avoir des pensées obsessionnelles.

Je pense aussi à tout les harceleur et victimes, non, je n’oublie pas les victimes, cependant sur le long terme, les harceleurs sont aussi victimes de leur pensées négatives, plus que les victimes qui elles ne subisse, que ces attaques que de l’extérieur et ne les revive pas en permanence dans leur esprit… Je sais, je reste subjectif, c’est mon point de vu, vous pouvez le partager ou non.

Mes pensées vont vers ma famille et mes proche, qui en grande partie, ne feront pas l’effort d’ouvrir ce livre, mais je ne leur en veut pas, ils me connaissent assez bien. Mais ne vous inquiétez pas, je les harcélerai jusqu’à ce qu’ils en prennent connaissance : ^^ !

Mes pensées ne vont pas vers mes victimes, dont j’ai suffisamment parlé dans les chapitres précédent, et m’ont fait oublié qui j’étais, et ce que je valais en tant qu’être humain. Leur insultes, attaques, remerciements ou interactions en tout genre, n’ont été que des stratagèmes pour défendre leur intérêts personnels. Je sais, c’est moi, qui a envahi leur vie, vous me direz, mais comme je n’étais pas assez bien pour eux, je n’existais qu’au travers d’un prisme négatif soit disant pour les faire grandir et servir de faire valoir.

C’est la raison pour laquelle j’ai écris, ce livre, pour que vous ressentez ce qu’un soit disant agresseur ressent. ET si c’est pour me condamner, ou encore, me jeter la pierre, je dirai cordialement d’aller vous faire foutre. Avec toute la délicatesse dont j’ai fais état par le passé, et la colère, la haine que j’ai reçu par le passé, je crois avoir assez de recul pour passer outre votre jugement.

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Et si je meurs?

Vous le savez vous même, lorsqu’on écrit, des souvenirs, remontent à la surface, les bons comme les mauvais. Et il semble que plus on s’approche de notre dernier jour, plus notre conscience a tendance à faire remonter les pires moment de notre vie, et de rejouer ces derniers en boucle, avec le regret de les avoir commis.

C’est aussi le luxe d’avoir du temps, me faire et me refaire des films rejouer les scènes de ma vie, et se demander, et si… J’avais fait autrement ! Peut être que j’aurai obtenu de meilleurs résultats, peut être que telle chose ne se serait pas passer comme ça.

En fait, quand le train est passé, il est inutile de dire que le train repassera, ce ne sera pas forcément le même avec la même destination, c’est un autre. Une nouvelle page de la vie qui s’écrit ! Mais il arrive un moment, ou tu quittes ce train, pour descendre à ta destination, et là, c’est la fin.

Pas pour les autres, par contre, c’est un cycle, et la vie continue, même sans toi. Je me dis, souvent que je n’aurai rien laissé de concret derrière moi, et que je n’ai pas profité pleinement de la vie. On a la vie qu’on mérite, dit on.

C’est faux, on ne choisi ni la famille dans laquelle on naît, ni nos origines, ni notre taille, poid, etc… Il y a un mince, très mince espace de choix qui nous appartient, que l’on ose encore appeller libre arbitre, et encadré par un tas de conneries, inventés par les humains, afin de nous faire culpabiliser et que tu ne puisses rien faire, tels que la punition divine, le karma, la justice…

Quand la mort arrive, il ne reste que ce que l’on a donné aux autres, mais il faut savoir une chose, plus tu as la capacité de donner, plus tu morfles en fait. Les femmes qui ont la capacité de donner la vie, souffrent le martyre, pour accoucher, et quand tu naîs, tu es totalement dépendant de celle qui ta donné la vie. Donc, pour donner la vie, il ne suffit pas de souffrir, il faut aussi donner une grande partie de son existence, pour s’occuper de son enfant.

Donc, la facilité est de se barrer, et de ne rien donner, mais en contrepartie, tes gênes, et ton souvenir disparaît totalement des esprits des vivants, tu es oublié. C’est donnant donnant. Sachant que même si ton souvenir persiste à travers tes enfants, il disparaîtra après deux ou trois génération, définitivement.

Alors que faire?

Rien, il faut s’en remettre à la fatalité, et ne pas se prendre la tête, profité de l’existence au maximum, pour ne pas avoir de regret, et tenter de laissé sa trace malgré tout. Tant pis, si on est voué à l’oubli, l’essentiel est ailleurs il me semble.

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Une vie de retraité

Bon, je crois que j’ai détecté le problème avec les autres…

Ils n’ont pas le temps, et sont occupés par leur activités séculaires, métro boulot dodo, s’occuper d’eux, et j’ai compris, qu’il y avait un décalage entre leur rythme de vie, saturé, sans temps à perdre, et le mien, avec énormément de temps vide, et inoccupé.

Je n’ai rien à faire, et comme je m’ennuie, il m’arrive de provoquer des situations inhabituelles, pour attirer l’attention. Ce qui explique, pourquoi je me retrouve dans des situations paradoxales, ou je me met à réfléchir, sur certaines choses, auxquelles les autres personnes ne pensent habituellement pas.

Hormis peut être l’ enfoiré qu’on appelle philosophe, et qui en fait dépense son temps dans son activité de réflexion, mais peut on appeller philosophe, un vendu? Bloquer lui même dans le cycle infernal et ternaire de la vie. NON, je ne le pense pas, pour réellement réfléchir sur la vie, il faut une chose dont peu de gens disposent, du loisir du temps.

Je ne prétend pas comprendre la façon de penser des gens, mais j’ai assez de recul pour observer leur travers, et me rendre compte, qu’en réalité ils sont prisonniers, de leur famille, leur travail, leur possessions matérielles.

J’ai le loisir de faire ce que je veux, avec qui je veux, et pourtant, je ne fais rien, et je m’ennuie, parce que j’ai choisi de m’ennuyer, du coup, je le vie mal, ce mal être se traduit, par la volonté d’occuper ce temps, et de fuir l’ennuie à tout prix, mais ou que j’aille, celle ci me suit, c’est mon destin et je ne peux y échapper, en plus cette maladie, fait que je suis blasé de tout et que rien ne m’étonne vraiment.

Sans le savoir,

Je suis devenu, un roi, sans divertissement !

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Encore un citation ? !

Les citations, il faut en user, mais avec modération, et ce n’est pas une vérité absolue, quand, une personne s’en sert à tort à travers, pour justifier ses dires et ses actes, ça devient malsain, surtout lorsque ses dires ne sont pas en conformité avec ses actes.

Voilà, c’est juste un gros coup de gueule face aux manipulateurs, manipulatrices de tout bord, qui se servent et détournent les propos d’une personne célèbre, pour se l’approprier, et manipuler l’opinion, et se mettre en avant.

La citation, n’est pas LA VERITE, mettez vous bien ça dans le crane ! Soyez vos propres maître et dites vous mêmes ce que vous pensez, et assumez le. Soyez indépendant, et honnête, arrêtez de vous cacher derrière des mots, qui ne vous appartiennent pas.

Laissez les morts là ou ils sont, avec leurs mots et respectez vous, je l’ai déjà dis, et je le répète encore une fois, soyez vous même.

A force de me retrouver face à ces situation, je fini par en avoir marre, et je sortirai bien mon revolver, si j’en avais un, pour flinguer tout ces fauxculs de bas étage qui se font l’étalage et le paragon de choses qui ne sont pas à elles, pour se faire valoir et se donner raison.

J’en ai assez, plus que de mesure. Je suis en colère d’entendre encore une citation de TROP !

STOP!

Si vous avez compris cela, le monde ira beaucoup mieux !

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« La vie continue » et je dis des « conneries »

Tout ce que j’écris, est destiné, soit à partir dans le vide, ou bien à être récupéré furtivement, par le regard du lecteur, et peut être, je ne sais, l’influencer dans quelques lubis ou bien, tout simplement le divertir.
Tout ça pour dire, qu’il faut prendre cette histoire d’idées, et de victoire, comme des simples futilités, qui n’existent que parce que l’idée s’est imposé à moi, et qu’elle a été assez importante, pour que je la mette sur papier.

Mais sur le fond, tout ce que je vous ai présenté depuis le début n’est pas la vie, et comme je l’ai dis plus tôt, je suis attaché à des faux problèmes, de façon excessive, peut être pour éviter de traiter les vrai problèmes de fond.

J’emmerde le monde qui m’entoure, en projettant mes psychoses, au travers d’idées délirantes, et d’actes délictuels, et ce de façon répété.

En fait, tout cela est lié à mon mal être et mon hygiène de vie déplorable, le manque d’attention sur soi, le refus de me voir dans un miroir, et d’affronter ma propre image. Je ne regarde pas les gens dans les yeux quand on me parle et mon visage ne reflète absolument aucune émotion.

Là ou je veux en venir, c’est qu’en fait, je raconte des conneries, même si parfois, je vise juste, et autour de moi, en fait Jenny, sa famille, et Bernard Werber, et sa famille, vivent leur vie. Ils n’ont pas d’attache vis à vis de moi, hormis celui que je leur ai imposé par le passé. Je me retrouve le seul à souffrir de cette situation.

Je n’ai pas réellement de vie à moi, et n’existe qu’au travers du regard de l’autre, qui comme on la vu dans les chapitres précédents, n’est pas forcément le meilleur.

Je ne crois pas à la spiritualité, à toute les méthodes de relaxation, diverses et variées, tels que le yoga et la méditation, je ne crois pas non plus à l’auto persuasion, la pensée positive, à l’ésotérisme, à l’astrologie, ni à toute ces formes de récupérations, new age, de pseudo science qui mettent au centre la relation corps/esprit.

Je crois à ma propre expérimentation, et à écouter mon corps, quand il a des choses à dire, ce qui souvent se traduit, assez tardivement, ou trop tard. Je ne pense pas que j’ai raison, ou tort, mais pour moi, nous sommes programmés des la naissance, et tout ce qui découle de notre être ne laisse que peu ou prou place aux choix personnels… Et voilà, je recommence à dire des conneries et à me justifier.

Pour saisir le monde, il faut penser out the box.

Une devinette à mon avis résume tout cela… Je vais vous en faire part !

Vous êtes au volant d’une voiture et vous roulez à vitesse constante..
A votre droite, le vide… A votre gauche, un camion de pompiers qui roule à la même vitesse et dans la même direction que vous.
Devant vous, un cochon, qui est plus gros que votre voiture !
Derrière vous, un hélicoptère qui vous suit, en rase-motte.
Le cochon et l’hélicoptère vont à la même vitesse que vous?


Face à tous ces éléments, comment faites-vous pour vous arrêter ?

Je vous laisse deviner la solution cher lecteur, assez simple en fait, et qui necessite juste de changer de point de vu .

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la victoire des idées

Nous sommes seuls, et mourront seuls, alors, à quoi ça sert d’être en compétition avec les autres?

Je crois toutefois, qu’il existe un juge, plus implacable que la mort.

LE TEMPS !

J’ai comme l’impression d’être en lutte avec moi même, pour comprendre mes mécanismes de défenses contre Bernard Werber et Jenny Godecaux. Et cette phrase me revient à l’esprit : « c’est une insulte à mon intelligence, c’est ce que tu insultes, et ce à quoi tu t’en prends. « 

Je constate, que depuis, une décennie, il y a un combat entre moi Jenny et Bernard Werber, sachant que la bataille est biaisé, et que l’odeur de mon pet a peu de chance de parvenir au nez de Werber, vu l’importance que prend chacun de ses romans. Même si ce que j’écris est de qualité, et avec style, il n’y aura pas de conséquence sur lui. Au mieux, je serai ignoré, et n’existerai pas.

Celle que j’ai mise dans la fange, c’est Jenny, et actuellement, elle est en combat, pour tenter de prendre sa revanche sur son destin… Ce qui expliquerait le fait qu’elle m’ait soit disant sincèrement remercié et fait part de quelque chose d’étonnant à mon égard. Ses études à la Sorbonne et l’écriture de son ouvrage doivent y être pour quelque chose.

Techniquement, de part la catégorie socio-professionnelle, Jenny a déjà un pas d’avance sur moi, en n’étant pas pénalisé pénalement, je n’ai fais que renverser l’ordre qui était initialement établi . Il est logique, qu’avec le temps, elle reprenne l’avantage, bien qu’à mon avis, cette revanche, ne se fait pas sur le plan de la réussite. Mais celle des idées.

Je pense et je crois, qu’il va se produire une sorte de basculement, à ce niveau là, ce qu’elle appelle son essor. Pas autant qu’attendu, mais assez pour qu’elle relève la tête, et reprenne sa diginité. Chose normal et préssentie, pour l’avenir.

Et moi dans tout ça?

Je cherche toujours à comprendre le pourquoi du comment alors, que toute cette histoire, est en fait une série de bataille d’intérêt pour le triomphe de ses idées.

Bernard Werber, croit encore à sa troisième humanité, Jenny a ses croyances bouddhiste, et moi, à ma folie…

Mais le temps est tétu, qui va triompher de cet obstacle? Je vous donne ma réponse, claire nette et précise, probablement personne, car nous sommes tous des hommes de notre temps. Pitoyables pauvres erres que nous étions, une fois, la génération passé, nous seront oubliés comme les autres.

Bernard, cesse de te la raconter, ce que tu écris ne passera pas l’ultime barrière de ta personne, tu as perdu ! Et la vie reprendra inexorablement ses droits.

J’en suis désolé… Le rideau est levé !

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Mantra

Une méthode efficace pour changer son existence, pour une personne influençable, et sujette à la suggestion, reste avant tout la programmation de son cerveau, par la répétition de phrase, ou de formules positives, afin d’aller mieux.

C’est le principe de base de la méthode coué ( à ne pas confondre avec Cauet, l’animateur radio ^^! )

l’autohypnose, et la mise en abîmes par des formulations positives, sont sensés apporter des éléments positifs dans la vie. De la même manière, ces formules et ces répétitions sont présentes dans la spiritualité et la religion, notamment le bouddhisme surtout, mais aussi dans toute les religions, ou tout est lié à ces histoire d’empreinte de la parole sur le mental et la vie.

J’aime bien cette phrase qui dit, « Vos croyances deviennent vos pensées, vos pensées deviennent vos mots, vos mots deviennent vos actions, vos actions deviennent vos habitudes, vos habitudes deviennent vos valeurs, vos valeurs deviennent votre destinée.  » qui est de Ghandi, il me semble.

J’aime ce qui est dit, et je retiens l’aspect positif et apaisant que cela peut avoir. Même si cela ne me correspond pas réellement. Ce qui m’attriste vraiment.

Je rajouterai que j’en ai marre de taper sur la religion, et la croyance, et venir me défouler sur des concepts qui de toute façon ne font de mal à personne.

Faite ce que vous voulez, sur moi, ça ne marche pas !

Je viens de tomber sur un article qui d’ailleurs confirme ce que je viens de dire, et parle de cette forme de pensée et du mythe qui est déconstruit, et que je vous conseil de lire, ou survoler: https://apprendreaeduquer.fr/mythe-de-la-loi-de-lattraction/

Mais j’apprécie l’effort qui a été fait dans ce sens la. Je tiens à rajouter, que même si la pensée positive, n’est pas forcément la solution, il faut bien prendre conscience, que nous n’avons de contrôle que sur nous même, et que notre sphère d’influence est limité à notre champ de conscience personnelle, et que le reste nous échappe. Donc, bien penser, que nous ne sommes maître que de soi même, pas des autres, et de notre environemment. On ne controle pas les évènements extérieurs. Et c’est déjà le premier pas, vers la guérison.

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Le monde est en nous tous, ou rien

Haïssez celui qui n’est pas de votre race

Haïssez celui qui n’a pas votre foi

Haïssez celui qui n’a pas de votre rang social

Haïssez haïssez vous serez haï.

De la haine on passera à la croisade

Vous tuerez et vous serez tué

Quoi qu’il en soit

Vous serez victime de votre haine

La loi est ainsi:

Vous ne pourrez être heureux seul.

Si l’autre n’est pas heureux.

Vous ne le serez pas aussi,

Si l’autre n’a pas d’avenir,

vous n’en aurez pas non plus,

si l’autre vit d’amertume,

vous en vivrez aussi,

Si l’autre est sans amour,

vous le serez aussi.

Le monde est nous tous, ou rien.

L’abri de votre égoïsme est sans effet dans l’éternité

Si l’autre n’existe pas, vous n’existez pas non plus.

Louis CALAFERTE [ 1928 – 1994 ]

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Intérêt

Encore, une leçon durement apprise, après m’être confronté au monde et ses ambigüités, et j’avais pourtant la réponse depuis bien longtemps.

Qu’est ce qui motive les gens à te parler, te croiser, et s’intéresser à toi, hormis, peut être certains de tes proches, comme ta famille?

J’ai réfléchi à la question, en me confrontant au monde réel, dans un contexte, ou une situation, ou personne n’aurait envie à me parler. La promotion de ce livre : « de la paranoïa à l’obsession » via un site de drague, appellé coco chat. En fait, je me suis rendu compte, qu’en tant qu’homme de 38 ans, je n’intéressais personne, de même que ma vie et mes aventures, en fait, je ne suis personne, je n’existe pas.

Je me suis interrogé, et me suis dis, pour quelle raison, mon livre, n’intéresse pas, et j’ai compris, que même dans la vie de tout les jours, je n’existais pour personne. Je n’existe pas pour le monde qui m’entoure, avec peu ou pas d’amis, peu ou pas de contacts à l’extérieur, je suis en fait, « isolé ». Et ce n’est que par le biais d’autres contacts, via l’associatif, que j’ai tissé des relations. Mais ces relations, ne m’appartiennent pas, même si j’ai des contacts, car c’est au sein de l’association qu’elles se sont crée même si cela peut aller au delà, ils ne dépendent pas de moi. Ces relations, bien que franche, sont bancales, en dehors de la structure.

Je continue donc à creuser, et je me dis. Mais pourquoi je n’existe pas? Pourquoi ne suis je rien alors que d’autres personnes rayonnent et ont beaucoup de contacts et d’amis, et est ce que cela est réellement important? Je suis pourtant un être humain, j’ai le droit moi aussi d’exister, et de m’exprimer et d’être considéré en tant que tel. Qu’est ce qui fait, que l’autre, existe et pas moi?

En changeant d’identité, et en mettant la photo d’une belle femme (vous aurez deviné qui), je deviens tout d’un coup, et cela rejoins un des chapitre précédent… Le centre d’attention, de toute ces personnes. Toujours la même proposition, la découverte du livre, et voilà que tout le monde veut savoir de quoi il retourne, quel est le thème, de quoi ça parle…

Je décide donc, d’aller plus loin dans l’expérience, et de révéler à certaines personnes choisi, mon identité ainsi que mes motivations. Une fois que j’ai dis qui j’étais, POUF ! C’est magique, tout le monde part, disparaît, se retire, et je n’existe plus. J’ai donc, demandé à ces personnes, pour quelle raison, je passais du stade, de personne importante, à celle de « mange merde »? Curieuse réponse qui m’a été donné.

« Tu ne représente aucun intérêt » tu n’as rien à donner !

Pour exister, il faut donc représenter un intérêt. Tiens donc, et oui, c’est ce qui fait fonctionner le monde, un échange, de bon procédé.

Ne soyons pas dupe, cet esprit existe aussi à tout les niveaux. On n’existe, que parce que l’on représente quelque chose, pour quelqu’un, avec un intérêt derrière. Cette motivation, va au delà du sexuel, et régit toute les arcanes de notre société.

L’expérience est la meilleure façon d’apprendre, et de comprendre le monde qui nous entoure, et je fait confiance à mon intuition à ce niveau là. Les loups et les moutons se reconnaîtront, c’est trop facile de jeter la pierre sur l’autre…

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