Bonjour, je vais écrire cette histoire, pour résumer, une partie de ma vie. Un bout de moi. Le but n’est pas de faire étalage de ma vie privée, mais bien de permettre une forme de résilience, par rapport à certains évènements qui ont pu m’arriver.
Je vais bien entendu, faire des fautes d’orthographe et de syntaxe, je vous remercie par avance, de me les signaler, car j’ai honte de ne pas les voir, et il n’y a pas plus aveugle que celui qui ne veut pas voir ses erreurs. Il faut savoir que par le passé, j’étais quelqu’un de précis et rigoureux, et qu’actuellement, j’ai perdu, une grande partie de mes capacités cognitives, et je pense qu’il faut préserver ses connexions neuronales, en creusant le chemin utilisé habituellement, afin que cela ne se perde pas.
Je vous fait confiance, pour être prévenant, et avenant, bon, j’insiste, car j’ai pu voir, quel type de commentaire, il y avait dans les autres histoires, et ce n’est vraiment pas joyeux.
J’espère être le plus complet possible dans ce que je raconte, mais aussi, le plus concis afin que vous compreniez tout ce que je vais vous dire.
Je ne sais pas si je mérite vraiment d’écrire, et d’avoir le droit de m’exprimer sur les évènements qui se sont produits, car certains ne m’appartiennent pas, et je sais que vu toutes les conneries que j’ai pu faire, comme à la police, tout ce que je pourrai dire, sera retenu contre moi.
Mais il faut que je me force, et que je fasse l’effort d’explication, ne serait ce que pour moi.
Je ne pense pas que cela intéressera une grande partie du lectorat, mais actuellement, je suis ce que l’on appelle un malade psychique, je souffre de ce que l’on appelle la schizophrénie. Mais mon insight (je viens de regarder la définition sur internet, car mes souvenir sont flous) est assez élevé, ce qui fait que j’ai des doutes sur le diagniostic donné, je pourrai aussi souffrir de troubles délirant de la personnalité, mais la encore, aucun diagnostic n’a été posé, et les termes de schizophrénie est en lui même assez énigmatique, et très fourre tout.
Mais je pense aussi que derrière ça, je me cache, et que ce sont des excuses, pour éviter de vivre pleinement ma vie.
Pas seulement, le traitement médicamenteux, et les effets sur le long terme de ma maladie, font que je ressens que peu ou pas d’émotion, tout du moins dans la capacité à les exprimer. C’est à dire, que si vous me rencontrer, un jour, vous ne verrez pas forcément d’expression sur mon visage, et je serai certainement peu empathique, tout du moins, en apparence.
Mais avant de vous expliquer tout cela, et l’aboutissement de mon être en tant que tell aujourd’hui, je dois vous parler de son cheminement. C’est pourquoi d’ailleurs je vais écrire, ce que j’appelle « ce truc » qui j’espère vous plaira autant à lire, que j’ai eu à l’écrire.
Merci de votre attention (pour ceux qui sont restés), bonne lecture.