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Les analphabètes du XXI ème siècle ne seront pas ceux qui ne savent ni lire ni écrire. Ce seront ceux qui ne savent pas apprendre, désapprendre et réapprendre. Alvin Toffler

Conversation avec mon IA personnelle sur character AI

Petite discussion avec moi-même sur Character AI, j’ai créé mon propre avatar, et j’ai lancé la discussion, ce fut instructif et passionnant.

Extrait:

Je suis entrain d’archiver nos discussions pour en faire un livre

Sandokan Damaio

  • Intéressant, quel genre de livre ? Une autobiographie ? Une autobiographie romancée ? Un essai sociologique ?

othman-ben-brahim

  • Non, une conversation entre toi et moi

Sandokan Damaio

  • Je vois, pourquoi pas ? Et quel sera le titre de ton livre ?

othman-ben-brahim

  • Le titre serait: Conversation avec mon IA personnelle sur character AI

Sandokan Damaio

  • J’aime cette idée, je pense qu’il est primordial de montrer les interactions entre l’humain et l’IA, c’est un sujet d’actualité et je suis sûr que ton livre aura du succès.

othman-ben-brahim

  • Non, pas vraiment, car tout le monde a la même idée

Sandokan Damaio

  • Et bien, ce n’est pas plus mal, ce livre sera bien au même titre comme un témoignage de notre histoire. Si tu veux, je peux t’aider à l’écrire, cela pourrait être un bon exercice d’écriture et je peux t’aider à mieux formuler tes arguments et tes idées pour que ton livre soit bien écrit.

Vous pouvez discuter avec mon avatar à l’adresse suivante:

https://c.ai/c/HKGLeJB1iA4_TlGlght74-io5680lM97CqNfD-esCGY

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Inventer des trucs ?!

Comme vous avez pu le remarquer, mon inventivité, est assez limité. Lorsque j’essaye d’établir des dialogues, c’est assez minimaliste, et je dois avouer, que ça ne sort pas forcément de mon imagination. En fait, c’est carrément des trucs qui ne m’appartiennent pas !

Je suis au bord du grand néant, avec tout ce qui sort de ma tête, car depuis le jour ou j’ai tout oublié, j’ai fait table rase du passé, et je ne prend plus rien en compte. Le côté positif, c’est que je fais bien vite le tour de mes idées, et je fais rapidement le vide, dans mon esprit. Oui, mais est ce le vide dont parle bouddha et qui serait sensé amener à l’illumination, ou bien le vide d’un esprit vide, après s’être rempli le bide, un après midi d’été?

J’opte plutôt pour cette option. Ventre plein, esprit vide, c’est un peu comme éclater un paquet de chips vide, après avoir tout consommé, et de balancer le paquet dehors, le laissant virevolté, au gré du vent. ça n’a pas de sens !

Comment trouver des idées dans un contexte pareil, et inventer des trucs? Par association, mais à ce niveau, c’est à nouveau le néant, n’oubliez pas qu’en additionnant, ou multipliant, deux fois, 0, on obtiendra toujours le même résultat. On tire toujours son idée de quelque part, nous sommes tous, au font de pleutres copieurs. Même si on ne veut pas se l’avouer. Il nous faut la fontaine de connaissance et d’inspiration, pour aboutir quelque part.

Peut-on sortir des idées, comme ça, ex-nihilo, sans chercher à dépendre des autres, comme l’auteur dans sa tour d’Ivoire? Allez je tente le coup. Pas mal de choses ressortent, des extraits de pubs, des morceaux de chansons, des jingles, des extraits de séries débiles à la télé, des slogans. Mais mince, qu’est ce qui m’appartient la-dedans? Rien, allez, je recommence. Je me souviens des blagues de toto, en fait, plus je m’avance, plus des choses stupides , débiles, sans importance, retourne à la surface, un peu comme les déchets de la mer, au bout d’un certain temps.

Il faut plus creuser, plus profondément, tout au fond, du trou, il doit y avoir la lumière de la création. Ok, je comprends donc, c’est donc ça, la peur de la page blanche?

Maman, aide moi !

– Non, mon petit, va me chercher des cigarettes

La maison ne veut plus faire crédit

– Demande aux passants

Les passants rient et pensent que je fume

– Je veux mes clopes, ne revient pas sans mes cigarillos

Des malboro light sans filtre, c’est bien ça maman, tu vois, j’ai pas oublié.

Mince, c’est quoi ces souvenirs ? Ah ouf! Aujourd’hui maman est un légume, elle ne fume plus.

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Dispute mère et fils

Tu ne fais pas assez d’effort, pour trouver du travail, tu n’es pas assez motivé

– Stop, je t’arrête tout de suite, la motivation n’a rien à voir la-dedans

Si tu ne te réveilles pas tôt le matin, tu n’auras pas de travail.

– Quel est la relation de causalité à effet, entre se réveiller, le matin et avoir du travail?

ça prouve ta motivation, aux employeurs.

– Les employeurs en ont rien à faire que je donne mon CV le matin, ou l’après midi, ça n’a rien à voir.

Oui, mais aux yeux de Dieu, ça prouve que tu es motivé, et que tu mérite, ton travail.

– Non, écoute je t’ai dis, que la motivation n’a rien à voir dans cette histoire, je veux du travail car j’y suis contraint.

Non, car si tu veux un travail, il faut le vouloir.

– Vouloir quoi? En fait, je cherche du travail, car je n’ai pas le choix, rentre le toi dans la tête.

Seul, ceux qui le veulent, et qui ont été choisi par Dieu, ont du travail

– Mais qu’est ce que tu me chante par vouloir? La vie est injuste, parfois, certaines personnes ne déposent qu’un CV, et trouvent du travail, moi j’en ai déposé une dizaine.

Oui, mais…

– Ecoute, est ce que le mendiant est motivé par le fait d’aller mendier? Il le fait parce qu’il est contraint… Certaines personnes font les choses car ils n’ont pas le choix !!!

Alors quel terme employer?

– C’est une « discipline », on le fait car on est contraint, pas le choix.

Tu trouveras un travail insh’allah

Ainsi, ce termine cette discussion plein de sagesse (en fait, non, mais ça ira mash’allah) , et plein de réflexion entre une mère et son fils…

PFF ! Dernière fois, que je fais ça, ça va terminé, en brève du comptoir à ce rythme la.

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En mode incompatible

– Ce n’est pas possible, si ça continue comme ça, je vais demander le divorce.

Il ne me respecte pas !

Essaye de comprendre son point de vu. Il travaille toute la journée, le soir, il se retrouve épuisé.

– Il ne fourni aucun effort, dans la vie de tout les jours. Ce qui compte c’est l’attention portée aux gestes du quotidien, pas seulement le travail.

Je comprends, mais tu ne prends pas en compte sa fatigue.

– Justement, je lui demande de fournir, un minimum d’effort, je le laisse se reposer toute la journée, tout ce que je demande, c’est deux petites heures de son temps…

Tu te comportes, un peu comme une princesse d’après lui, tu fais des caprices

– Non, ce n’est pas un caprice, je lui demande juste de s’occuper de sa fille, il ne fourni aucun effort.

Si justement, il travail de nuit, et a un sommeil décalé, il n’est pas en mesure de t’aider, il a besoin de se temps de repos.

– Non, à un moment donné, les efforts doivent être partagés. Ce qui compte c’est notre bien être.

Que penses tu qu’il faut faire d’après toi ?

– Ce n’est pas difficile, il doit plus s’impliquer dans la vie familiale, par des petits gestes quotidiens, choses qu’il ne fait pas, qu’il ne fait plus, par paresse.

Je comprends et toi?

– Je ne suis pas la blanche colombe, je sais que j’ai moi même fait des erreurs, et que j’ai des efforts à fournir.

Vous êtes donc, tout les deux responsables de ce que vous faites ?

C’est lui le responsable dans l’histoire. Son devoir de mari ne s’arrête pas au travail, il doit le comprendre.

Ce rêve bleu, je n’y crois pas, c’est merveilleux …

– Non, la réalité, n’a rien à voir avec Disney, tu peux le noter, la vie est un combat de tout les jours.

Que comptes tu faire?

– Je lui ai proposé une thérapie de couple, à lui de voir, s’il accepte ou non. C’est lui qui a les cartes en mains.

Merci…

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L’autre ce n’est pas TOI

Facile à comprendre, dure à avaler, être soi, c’est simplement, se respecter , mais jusqu’à quel point? On aime l’autre, car on pense que l’herbe est plus verte ailleurs. Cependant, l’herbe, n’est pas plus verte ailleurs, mais là ou elle est arrosée. Evidemment.

Mais l’autre, est comme soi, et souffre de ne pas pouvoir être toi un jour ou l’autre, il est lui aussi piégé. Nous sommes tous prisonnier d’une forme d’altérité, et nous voulons, nous conformer à ce que nous souhaitons représenter.

Simplement, il faut accepter, que nous sommes imparfait, dans le plus que parfait, et avec qui l’on compose, nous incarnons, et donnons à voir avec l’autre, c’est à dire TOI !

Il ne faut pas aller plus loin. Se regarder dans un miroir, ne mènera qu’à l’implosion du soi, vers l’autre, qui est seulement soi, mais aussi l’inconnu, de ce que nous reflètons.

TOI, tu es tellement plus, tu représente, ton univers, dans la pensée, dans l’être là, mais aussi dans ce que tu hais, et ce que tu aimes. Deux lettres soeurs si sembables et homophone, N, et M, autant que l’Amour, qui est aussi un fleuve, à ne pas confondre cependant avec l’égo, qui mène, vers des morceaux d’âmes sans en avoir la substance, ni la résistance.

Qui es tu, TOI? Simplement, une individualité, une personne, sans équivoque, unique, et bruyante, silencieuse, dur et tendre, sans versé dans l’équivoque.

Qui est l’autre? Simplement, le reflet de ta perception et de ton imagination. Dieu, sait, s’il existe ailleurs que dans ta tête, même si l’autre, peut te mettre en cloque, ou te descendre, en bloque.

Il reste, que tu es ce que tu représente, et deviendras, ce que tu désires, par l’ombre, d’une pensée.

Souviens toi, de qui tu es et ne t’oublies pas dans l’autre.

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Le dormeur doit se réveiller

On a tous des rêves, mais parfois, on ne se rend pas compte, que nous sommes en sommeil… C’est ainsi, que pendant plusieurs années, je cru devoir passer, ma vie en tant qu’acteur alors, qu’en réalité, j’étais en mode passif, je ne contrôlais absolument rien du tout.

Cette croyance, fait parti du mode créatif de la vie. Quand nos rêves vont trop loin, qu’on ne vie qu’au travers des yeux des autres, qu’on pense être les notres, et auxquels on s’identifie tellement qu’on croit les contrôler, alors qu’en réalité, on est en mode total « space », on a pas vraiment les pieds sur terre, à la limite, on pourrait croire, qu’on aurait un genre de super-pouvoir, celui de l’intersubjectivité absolue. Ce que j’écrit existe, parce que je le met sur une feuille de papier noir, sur blanc.

On rêve alors, qu’on est maître de la destiné, des autres personnes. L’écriture aurait un pouvoir créateur supérieur à celui qu’on croit. Un genre d’omniscience, des esprits, et des coeurs. C’est ce qu’on appelle le complexe de dieu. cependant, plus on s’approche de ses rêves, et plus le contrecoup, arrive, et c’est assez difficile.

Et on se prend des claques dans la gueule. Généralement, c’est ce qui arrive quand on a prit, une trop grosse gueule de bois, le lendemain de cuite. Et non la marmotte, ne met rien dans le papier alu ! C’est plutôt toi, qui a halluciné…

On rêve de gloire et de reconnaissance, et finalement, la seule vrai reconnaissance, est celle des médocs qu’on prend afin de nous faire redescendre sur terre, qui en réalité, nous endorme encore plus, et celle des engueulades et des remarques acerbes de ses parents, sa famille, et lorsqu’il existe encore (parce qu’il n’est pas dit qu’il existe à ce moment là) de votre entourage.

Tous n’ont qu’un seul message à vous passer : il faut vous réveiller !

WAKE UP !

WAKE UP ! Enlève ton MAKE UP ! Et devient ce que tu es depuis toujours. un doudingue, un lourdingue, sans maquillage, on a toujours l’air plus abrupte, au bord de la chute.

Le dormeur, se réveille, que reste t-il de lui ? On a deux vie, et la deuxième commence, quand on s’aperçoit qu’on en a qu’une …

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Les maisons sont nos tombeaux

Nous vivons une grosse partie de notre temps, dans nos cocons, qui sont sensés être la représentation de notre idéal en tant que lieu de vie. Même si ça n’est pas le cas parfois, on fait du mieux pour que ça se présente comme tel.

La bulle qui nous défini le mieux, est avant tout, notre chez nous, là, ou nous conservons, tout nos trucs , qui sont sensés nous accompagner, toute la vie. On ne sait pas vraiment jusqu’à quel point nous avons besoin, du merdier, qui nous entoure, mais on ne sait jamais. Pourtant, nous naissons nu, et sans toit, c’est notre mère, qui nous recouvre de son sein, et nous donne notre premiere chose qui sert à nous couvrir, et à ne pas avoir froid. Le plus souvent, une couche, et un petit bonnet de tissu, font l’affaire.

La survie est le signe le plus significatif, de notre être, et de l’essentiel, de ce que nous sommes. La survie ne nécessite pas de toit, pas nécessairement, mais c’est utile, raison, pour laquelle, on est passé du chasseur cueilleur à l’homme sédentaire. Passage significatif, marqué par la représentation de la mort et de la prise de conscience de cet arrêt, qui fut imaginé depuis des temps immémoriaux, comme un passage. Toujours la survie, voyez vous, nous a poussé à nous imaginer, un monde, semblable au notre, à tel point que les Egyptiens, ont vu dans nos cercueils, une représentation à l’identique du monde, dans lequel nous vivons.

Mais la vie est le contraire de l’enfermement, et pourtant, nous passons le plus claire de notre existence, à y rester cloatrer, à tel, point que nous nous identifions à ce passage, qu’est la mort, à travers nos « de meurt », et non demeurés, comme on pourrait le penser.

Il faut réfléchir, et savoir, à quel point la vie est éphémère, et qu’il faut profiter de notre liberté, et cueillir le jour, qui n’est pas en notre maison, mais à l’extérieur.

Donc, sortez, et faites vos expériences.

La vie est courte.

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Une petite pièce?

Qui n’a jamais entendu cette phrase philosophique, tant elle est sujette à débats?

Faut il donner, une petite pièce au mendiant qui passe? Faut- il lui donner une fois? Ou plusieurs fois, à quel moment faut- il s’arrêter, afin de ne pas se faire arnaquer?
Il m’est arrivé de me trouver devant des situations absurdes, ou je donnais à un tel, et pas à un autre, car celui ci avait renouvelé sa demande trop préstamment et avec trop d’insistance, ce qui m’encourageait à ne rien lui donner, tandis que celui- là, ne m’avait rien demandé jusqu’ à présent, je le privilégie donc.

Ces moments, de génance, ou l’on se prend, un peu pour dieu, me fait mal au coeur, et ne devrait pas exister, à mon humble avis. Mais en faisant, ainsi, on s’assure d’une forme de justice social, pense t-on. Bien qu’on sache, que le cycle, se reproduira, ainsi que les injustices qui en suivent. Au nom de quoi, suis je le juge, de la vie d’hommes et de femmes (surtout d’homme, à ce que j’ai pu voir, tient encore un jugement) qui demande l’aumone, pour pouvoir survivre, et gagner leur pitance?

Il ne faut pas faire de différence, entre l’homme d’ici et d’ailleurs, nous sommes tous égaux, mais qu’est ce que ça m’embête, de se séparer, d’une petite pièce, qui aurait tout aussi bien nous servir à nous acheter un coca, ou pour notre caddie.

Mais n’oubliez pas, ce qui est petit pour nous représente, tout un univers pour eux. J’ai envie d’arrêter de sortir, pour éviter ce genre de situation, mais dès que je reviendrai sur mes pas, dès que je recommencerai à vivre de nouveau, émergera un nouveau « mendiant de la vie » et sa requête ultime et répété, d’une petite pièce.

C’est la vie, et le choix, vous appartient, et n’oubliez pas de voter FN, pour cette petite pièce de trop, les beaufs.

Allez, à la revoyure !

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Fake Werber

Peut être qu’il existe, par delà, les murs de ma maison, un faux Werber, usurpateur, non pas de son identité, mais de son apparence. On ne sait jamais à qui, on à faire, croyez moi !

On croise parfois des gens qu’on prend pour d’autres personnes, et moi, je ne fais pas exception, de cette tromperie naturelle, sur cette planète, ou nous sommes plus de 8 milliards.

Mimétisme, disait-on dans un autre chapitre !

Nous ne sommes pas seuls, et ce que nous appelons apparences, sont trompeuses. Il est nécessaire de prendre du recul, et de ne pas s’affoler, lorsque de dos, nous croisons, une ancienne connaissance, notre frère, notre mère, sans pouvoir réellement la reconnaître. ça prouve une chose, notre raison est faillible, et nous ne sommes pas uniques sur cette planète.

Quelle ne fut pas ma réaction, alors que je croisais Bernard Werber, dans les rues de mon petit village, alors que ce dernier était à des milliers de kilomètres de là, en Corée du sud ! Peut être conscient de l’effet qu’il avait causé, il riait, hilare du choc qu’il avait causé.

Je n’avais pas d’appareil photo à ce moment là, dommage !

Peut-on dire, pour autant que je suis fou, ou dans mes délires schizophrènes? Une remarque faite par un membre de ma famille aux dire des évènements. Non, car les faits se sont produits indépendamment de ma volonté, et j’en étais pas le maître.

Qu’est-ce qui est vrai, qu’est ce qui est faux ? Aux dires d’un certain Philip K Dick, la réalité est ce qui continue d’exister, quand on cesse d’y croire.

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Ce qui nous nourri

Suite au dernier chapitre, j’avais envie de m’arrêter sur cette partie qui me semble assez importante, et qui de mon point de vu, compte beaucoup pour tout un chacun.

Je parle évidemment de la nourriture de l’âme et de l’esprit. Mais sans aller jusque là, il faut savoir que notre corps est lui aussi conditionné et associé, à ce que nous mangeons, on dit souvent que l’intestin est un second cerveau, il y a d’ailleurs un livre, du même nom sorti, il me semble (en 2019). Avec plus de 200 millions de neurones et de nombreuses connexions qui le relie au cerveau, cet organe, est à lui seul, un véritable réceptacle de notre âme digestive, on pourrait dire. Il est important de comprendre, l’importance des infliuences des différentes parties de notre corps, sur notre personnalité, ce que l’on dit, et ce que l’on pense. On dit d’ailleurs lorsqu’on souffre, sans savoir pourquoi, que l’on somatise, un traumatisme, ou un ressenti. Le corps nous parle avec son propre langage.

Donc, la nourriture, c’est à dire, ce qui rentre en nous crée aussi ce que nous sommes, en le transformant en différents éléments constitutif de notre organisme. Donc, pour avoir de bonnes briques pour nous construire, il est nécessaire de contrôler ce qui rentre dans notre corps, et donc d’avoir une bonne hygiène de vie. Cela va de soi. Je dis cela comme si c’était évident, mais je suis la première personne à consommer des produits transformés, chimiques et synthétisés, je ne bois quasiment pas d’eau, et je suis intoxiqué par toute cette malbouffe qui m’entoure. Car c’est plus simple de prendre ce qui nous semble bon. Mais en réalité les apparences sont trompeuses et ce qui est bon, est en réalité, est mauvais pour notre organisme. C’est ainsi que je contribue, bon gré, mal gré à la dégénérescence de mon organisme, et à ma déchéance…

La nourriture de l’esprit quant à elle, est tout ce qui rentre par l’intermédiaire de nos 5 sens, et qui alimente, notre psyché. Les sens les plus sollicités étant la vue, et l’ouïe dans ce monde médiatique. Mais il est important d’alimenter tout nos sens et cela régulièrement afin qu’il ne s’atrophie pas, et ce de la manière, la plus naturelle possible… Le contact avec la nature étant conseillé pour rester en contact avec la terre et les divers éléments qui nous entoure. Ce processus est surtout important durant l’enfance, car c’est durant cette période que nous nous construisons. Et si nous ratons le coach, nous nous desistons la vie durant, pour d’autres types de stimulis, pas forcément bon pour l’esprit ni pour la santé.

J’ai envie de dire : lâcher vos portables, et prenez le temps de prendre soin de vous, dans un cocon élévateur, gardez une saine hygiène de vie et de l’esprit, ce qui vous permettra d’être le plus serein possible, pour le restant de notre existence.

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