On a tous des rêves, mais parfois, on ne se rend pas compte, que nous sommes en sommeil… C’est ainsi, que pendant plusieurs années, je cru devoir passer, ma vie en tant qu’acteur alors, qu’en réalité, j’étais en mode passif, je ne contrôlais absolument rien du tout.
Cette croyance, fait parti du mode créatif de la vie. Quand nos rêves vont trop loin, qu’on ne vie qu’au travers des yeux des autres, qu’on pense être les notres, et auxquels on s’identifie tellement qu’on croit les contrôler, alors qu’en réalité, on est en mode total « space », on a pas vraiment les pieds sur terre, à la limite, on pourrait croire, qu’on aurait un genre de super-pouvoir, celui de l’intersubjectivité absolue. Ce que j’écrit existe, parce que je le met sur une feuille de papier noir, sur blanc.
On rêve alors, qu’on est maître de la destiné, des autres personnes. L’écriture aurait un pouvoir créateur supérieur à celui qu’on croit. Un genre d’omniscience, des esprits, et des coeurs. C’est ce qu’on appelle le complexe de dieu. cependant, plus on s’approche de ses rêves, et plus le contrecoup, arrive, et c’est assez difficile.
Et on se prend des claques dans la gueule. Généralement, c’est ce qui arrive quand on a prit, une trop grosse gueule de bois, le lendemain de cuite. Et non la marmotte, ne met rien dans le papier alu ! C’est plutôt toi, qui a halluciné…
On rêve de gloire et de reconnaissance, et finalement, la seule vrai reconnaissance, est celle des médocs qu’on prend afin de nous faire redescendre sur terre, qui en réalité, nous endorme encore plus, et celle des engueulades et des remarques acerbes de ses parents, sa famille, et lorsqu’il existe encore (parce qu’il n’est pas dit qu’il existe à ce moment là) de votre entourage.
Tous n’ont qu’un seul message à vous passer : il faut vous réveiller !
WAKE UP !
WAKE UP ! Enlève ton MAKE UP ! Et devient ce que tu es depuis toujours. un doudingue, un lourdingue, sans maquillage, on a toujours l’air plus abrupte, au bord de la chute.
Le dormeur, se réveille, que reste t-il de lui ? On a deux vie, et la deuxième commence, quand on s’aperçoit qu’on en a qu’une …